2 Coupole : couvrant la cella et que les italiens nomment ciello. Mausolée de Gallia Placidia à Ravenne (Vème s.), Coupole de Sainte Sophie dEdesse (VIIème s.), Dais du Temple de Diane à Nîmes (1°s.), (cf. art. dais* > dediscus disque)
3 Ces temples en bois étaient faits par des maîtres charpentiers arkhitéktôn : ils ont donné leur nom à nos architectes bâtisseurs de cathédrales bien souvent solaires elles aussi !
4 Colonnade : daucuns ont prétendu que la première colonne était en fait un faisceau de roseaux, ce qui nous remémore le premier temple de paille de Delphes (> fascio du licteur).
5 Naos et naus , (chapelle centrale ou terminale des temples) signifie navire : nous en vient le nom de la nef. En Égypte, ce naos contenait la barque sacrée figurant locéan (invisible pour des Égyptiens) : lAtlantique !
6 Cella : mot latin, cellule, en grec cest sekos : enveloppe du simulacre (de la statue, eidolon = image) dun Dieu, cest sa cabane
7 La moulure : et lon pourrait ajouter que dans le premiers temples observatoires de plein-air, la colonne/ axe/ clou* de lunivers étant un Gnomon-Irminsul** et, les volutes de celui-ci se retrouvent naturellement dans celles des chapiteaux des colonnes doriques.
8 Harmonie : de l'indo-européen *Ar, aer, "ajustement". En grec, et avec le suffixe "sur", on a harm, harmos , joint, cheville, d'où harmonia, "chose bien agencée, accord" (par extension : musical). Et l'on voit ici la parenté avec Hermès* le dieu ithyphallique des carrefours
9 Modèle : un auteur a dit : « seul lAfricain peut avoir des dieux horribles » mais, cest nous qui les voyons ainsi car « chez lui la symbolique est conventionnelle » dautant que les esprits sont souvent très dangereux : nous penserons aux daimons et titans grecs
10 Le Saint des Saints : sappelle Grand Orient dans le temple de Salomon (cf. art. Maçons*)
11 Chryséléphantine signifie simplement faite dor et divoire
12 Syrienne : Tyr/ Sour Å assyrienne pour phénicienne, philistine, phérès. Souvenir frison
13 Aigles dor : d'autres parlent de coucous et même, ultérieurement, d'oiseaux articulé.
14 Linteau quon a déjà vu, dans larticle Jeux*, en parlant du Rugby (cf. aussi lentrée du port de Noatun in art. Ulysse*)
15 Nord-Est : cette orientation du temple est celle du soleil levant au solstice d'été ! Les rayons entrent par le Narthex (de nartéko qui remplit le creux dun tige de férule/ nartès, ou fenouil/ marathon, férule qui servait au transport du feu/ braise). Le Narthex de la cathédrale serait donc le couloir doù sourd un divin feu, lEsprit, et qui mène au Naos, cette partie du Temple où se trouve leidolon: lidole du Dieu. Mais, si le temple est orientée à lest, les rayons pénètrent par un oculus ou les vitraux du cur et solarisent des gnomes/ gnomons ou des statues, ou bien la tête du dieu, ou encore, dans les églises chrétiennes, lhostie au moment de lÉlévation. (Cf. limage du Muhlespiele in art. Astrologie* nordique)
16 Hercule : ce qui nous confirme dans notre proposition. Les colonnes dHercule lHyperboréen étaient un système de visées solsticiales qui fut reproduit par les Peuples de la Mer et du Nord lors de leur pérégrination. Lun dentre eux, reconnu des Grecs, fut pris pour le lieu dorigine de cette invention typiquement Kronienne (cf. art. Astrologie*)
17 Grenades : cela ne vous fait-il pas penser à une version locale de lIrminsul* ?
18 Bosquet sacré : tout comme Londres, bien évidemment !
19 Cet appareil serait-il inculte ? Un comble ! Ou alors partisan de lex oriente lux ?
20 Saisons : nous verrons dans lart. Astronomie* quil sagit en fait essentiellement de leffet de linclinaison de laxe terrestre
21 Marque symbolique : signes zodiacal/ astérisme/ Rune*/ constellation
22 Dans les jeux de marelle on pousse un palet à cloche-pied sur un parcours initiatique en chantant une chanson en rapport. Malheureusement ces paroles signifiantes semblent sêtre égarées
23 Trois piliers : ceci explique que la Fyroge, (tapis, ou Tabula quadrata) des alchimistes* ne représente que trois piliers, ce que les Maçons* rapportent : 1/ au Temple et sil est Solaire, cest correct ; ou 2/ au Temple de Salomon (ce qui est une impossibilité concernant le Temple de Jérusalem qui ne peut, pas plus quaucun autre, tenir sur trois piliers.
Il faut aussi remarquer ici que Salomon, qui était un Ebro/ Éburon, porte un nom salmon/ saumon qui évoque un niveau élevé dinitiation* druidique. Malheureusement il nen resta plus rien après le passage des réformateurs de la Torah : comme tous les illuminés se croyant prophètes/ interprètes de Dieu, ils ont fait le ménage dans leur multiculturel livre en favorisant bien souvent cet exorbitant aspect de fidélité-obéissance aveugle (casta) propre aux déportés en Mésopotamie !
Les colonnes qui ornaient le Temple de Salomon (Flavius Josèphe) étaient appelées Jakin les nuées cest à dire leau, et Boaz le feu. Il est intéressant de remarquer que les deux colonnes de visée du Solstice dHiver chez Atlas lAtlante* boréen ou colonnes dHercule portent le nom des deux fléaux qui les détruisirent dans le Pays Sacré*: la submersion et léruption, leau et le feu : curieux
nest-ce pas ?
« Sirius et Arcturus, saint Jacques et saint Blaise, en fait Lug et Bélénos, sont les véritables colonnes J et B de la tradition chrétienne, celles que maçons et tailleurs de pierre durent occulter derrière les noms bibliques de Jakin et Boaz par crainte du terrorisme clérical. » Raimonde Reznikov, Les Celtes et le Druidisme, Dangles, 1994. (=Sirius la surgissante et Arcturus la Grande Ourse, Blaise !)
24 Le graphique est carré pour le 45° parallèle qui passe au milieu de la France et au Tyrol. Mais il est rectangulaire partout ailleurs. Étréci, il est même confondu en une ligne verticale au Pôle où il est figuré par la Rune* Is/ Eis/ glace I , comme il fallait sy attendre. Aplati à léquateur, le graphique est écrasé par le soleil, cest une ligne dEst en Ouest <>
25 Délassements : on ne peut malheureusement pas en dire autant de nos jeux* actuels, que ce soient des jeux sur ordinateurs ou, pire, des jeux télévisés mais quel trust mondial de lessive pourrait bien vouloir supporter la protection des Racines Européennes même sous forme de sirupeux et sanitized soap opéra ? (Je les soupçonnerai même quelque peu de favoriser leur extinction, dans linsignifiance et linversion de sens de leurs programmes les plus pipol )
26 Faucon/ Horus : mais ses descendants écrasent les symboles dorigine par un excès de culte de la personnalité. Le sacrifice est desservi par une classe sacerdotale professionnelle, privilégiée et, à labri du regard du peuple dans la chambre funéraire/ cella, le culte devient alors mystérieux. Dautre part, la concentration de peuples divers dans un seul empire, donc de main duvre quil est possible dentretenir grâce aux surplus alimentaires dus à la culture irriguée, va conduire au gigantisme monumental et au culte rendu au Roi-Dieu, véritable potentat unificateur ; puis aux excès du culte des morts, sans doute entraîné au départ par les lamentations dIsis pour lancêtre noyé (en Hyperborée ou à Santorin?) : Osiris déchiqueté quil a fallu recoudre et panser avec baumes et bandelettes. Il est symbolisé par le Soleil/ Râ mangé par la lionne Shekmet dont léquivalent nordique est le Dragon*-Loup Fenrir.
27 Guanches : « Nonobstant le fait que la tête en céramique de Tecaxic-Calixtlahuaca (retrouvée dans une tombe inviolée avant larrivée des Espagnols) vient officiellement dêtre daté au C14 comme étant du IIème siècle : quels navigateurs Romains (?) parti de Lanzarote aux Canaries furent emportés par la tempête et les courants ? » conclut Science & Avenir en mai 2000
28 Dolmen : qui ne furent jamais des tables de sacrifices humain contrairement à lhypothèse de Théophile de la Tour dAuvergne (mort en 1800). Tout au plus, après le repérage du solstice dhiver dans la fenêtre de visée, célébrait-on un sacrifice daction de grâce (propitiatoire) au nouveau Soleil qui venait de naître, à ce Dieu-fils ou Mac Oc en espérant quil apporte une nouvelle abondance* annuelle à la communauté* mais, en présence des restes du vieil Ase/ Sage qui, lui, demeurait au centre de ce temple solaire quil avait conçut, cf. le Dagda chez les Celtes*, et § Newgrange art. Astrologie*