1 Illustration de tête : Sacrifice du jeune daim, Silène, Ménades, Magéiros, autel, aulète avec sa peau de daim “nébride” sur l’épaule, et un second Silène et son carnyx pour le brâme de Cernunnos*.

2 N. B. : Les mots avec astérisques* sont des titres d’articles consultables aussi dans le Livre CD de l’association et ils correspondent au deuxième volume de notre étude sur Les Origines de l’Arbre de Mai comme étant issu d’une Atlantide boréenne pré cataclysmique du XIIIème s. AEC.
    Les articles de ce 2° tome “Les Sources” sont chargés progressivement sur le site et ils sont mis à jour en fonction de vos interventions par courriel…

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3 Araméen : rappelons que, selon la légende, Jésus/ Emmanuel le “Galiléen”, prêchait en araméen, mais les évangiles ont été transcrits tardivement au IVème siècle en grec, jamais en hébreu (à l’époque!) sauf l’Apocalypse dite de Jean qui fut fortement influencée par les “connaissances” des Wisigoths (les “Goths Savants”)…

4 Chthonien, “de la terre, ou souterrain”. Proche est le mot ktonos “qui tue”…

5 Abas et abat signifient aussi en français “averse soudaine” et donnent à penser que ces rites* pouvaient être accompagnés de “danses de la pluie” accompagnées du bruit des rhombes (cf. art. Thor*).
Lorsque nos fêtes de la Saint-Jean sont arrosées par un orage soudain nous devrions en être heureux si nous étions plus fidèles à l’esprit du Paganisme* (“sacra”) qu’à sa lettre (“casta”) et à notre confort de citadins semi-déracinés !…

6 Pénates : la tête du roi Romain Olus fut enfouie sous l'autel, d'où le nom du Capitole : Caput Oli. Remarquons au passage la parenté avec le “bon” dieu par excellence qu'est le Père Neu Helle. Chez les Basques* il se nomme Olenzaro (diaro). En Irlande c'est Ole, Olen, le Mac Oc, Ogmios, le Dieu-Fils, le Soleil Nouveau de l'épiphanie. Pour les Germano-Scandinaves c'est Hel, le dieu "clair", lequel est El pour leurs cousins "Phénessiens" du Liban ou "Phélestiens" de Palestine.

7 Grotte : Pour celles de nos ethnies qui choisirent la chasse au renne et nomadisèrent dans le nord de l’Eurasie, la tente en constitua le substitut habituel et sacré* (Cf. les art. Glaciaire*, Guerre de fondation* et Chamanisme*)…

8 Prophétès : ce mot signifie simplement “interprètes des oracles” en grec.

9 Oreilles : On dit habituellement qu’il n’existerai qu’un seul autre exemple antique de ce “culte aux oreilles”, celui d’Arles. Mais, cette “Grande Oreille” qu’on retrouve jusque dans les églises est celle du petit dieu gallo-romain Auribus, puis celle de la Déesse Mère (aux Oreilles) qui doit “prêter l’oreille aux supplications” de ses fidèles. La trace en est donc restée en maint endroit, dans les anciennes chapelles ou églises : par exemple à Grenoble où l’on trouve un hypothétique Saint Oyand (“oyez, oyez!”), “saint” de circonstance dont la seule qualité fut de remplacer une petite matrone gallo-romaine nommé “les Oreilles” parce qu’elle y était “aux écoutes” des rogations (“demandes”).
  Trace aussi dans l’église de Kernaskleden dans les Côtes du Nord (Bzh) célèbre pour ses peintures de l’Enfer (cf. § Diable° in art. Église*) : un Enfant Jésus – que ses grandes oreilles transforme quelque peu en “ravi de la crêche° provençale” – trône sur les genoux de la Déesse Mère*, Dieu–Fils solaire/ Enfant Phœbus renaissant, guettant peut-être la venue de la “nouvelle clarté” Neu Helle pour “apparaître” (épiphania) au petit peuple de Bretagne…

10 Nemed: le personnage grec Némée est dit “de la clairière”, en grec Mé : “lune” (mens esprit, menstrue, observation mensuelle sur le Németon).

11 1er août : toujours ce décalage de quarante jours des calendriers celtiques centrés sur le milieu des saisons climatiques. (C’est aussi le jour du culte d’Auguste, auquel est consacrée la capitale des Gaules avant d’être, pérennité romaine exige, celle du primat des catholiques… romains).

12 Tyr : cf. Alcinoos dans notre article romancé Ulysse* et Nausicaa…

13 Le Parthénon, par Léni Riefenstahl (sur le Web…)

14 Téménos est aussi le nom d’un lieu voisin de Syracuse où Apollon* avait… un temple !

15 Németon : il est curieux de remarquer la stricte inversion – telle un anagramme – des racines grecque Temen + os et celte Nemet + on : est-on en présence d’une numérologie° dont certains prétendent qu’elle existait dans le trinôme sacré runique* des trois Œttir, Edred Thorsson en particulier ? Ou d’un artefact dû à l’évolution de la langue (phonétique) ?
  Németon, “bois sacré” « Sanctuaire clairière où le ciel touche terre. » Son étymologie nous renvoie à l'ancien irlandais num, "voûte du ciel" (cf. le Lac de Némi chez les Romains, et aussi Numa le légiste) ; aux bretons nemy, et nemed qui servira par dérivation à désigner tous les lieux consacrés. On leur rapprochera aussi Némésis (cf. Justice*).

16 En Asie mineure : rencontre ou influence des Phérès/ Phéniciens, enfants des “Peuples de la Mer et du Nord” ?

17 Portique, porte, porche, propylée… Sa forme en Pi ou en A basque nous a beaucoup intriguée puisqu'on la retrouve jusqu'au Japon dans le Torii qui précède le temple ou… le port ! Nous ne sommes pas loin de penser qu'elle était celle de l'entrée du célèbre port nordique Noatun, "le Clos des Nefs", gardé par une chaîne de bronze, et dont la haute barre transversale obligeait les navires à abattre leur mât avant d'entrer à la rame, escortés par le pilote/ lamen (!) et la garde portuaire de la chefferie de ces Atlantes* boréens et empêchait les nautes voleurs de fuir en catimini…

18 Cf. l’archaïque hutte de paille qui avait précédé le Temple de Delphes°, in art. Apollon*.

19 Parthénon signifie simplement “Chambre de Vierge”…

20 Newgrange : qui, par sa forme générale est, avec celles de Malte, l’ancêtre de nos cathédrales cruciformes…

21 Grâces : du latin gratia “faveur, pardon, remerciement” ; grec charitès. Il n’y pas de rapport évident avec Grèce, la nouvelle patrie des grises Grées, et pourtant

22 Tour des cloches : « La vieille croyance blanche en l’instabilité du Cosmos imprégnait encore, au IXème siècle, les Vikings fondeurs des cloches de Gardhar (Gaard Har, la demeure du Très Haut, du Dieu Suprême, Wotan*)n, au Grœnland. Ornées de runes* sacrées*, ces cloches, dans la fabrication desquelles intervenait le sang humain (et aussi des roches adamantines (–>) que seule la technologie moderne des ceramets permet d’incorporer au bronze) et qui avaient une sonorité exceptionnelle et jamais retrouvée, sonnèrent le plus rapide des glas qu’une civilisation ait connu. » R. Montaigu.
–> Adamantine : qui a la dureté et l’éclat du diamant. Cela concerne sans doute des roches volcaniques et – qui sait – particulièrement des composés ferro azotés (cf. § Oies° in Bestiaire* des dieux)…

23 Source thermale : cf. les “bains chauds” d’Atlantis/ Basileia ou ceux de Circé.

24 Damona : que M-L Sjœstedt nomme “vache grande”, Dahm Boer en irlandais serait donc l’équivalent celtique de la nordique Audhumbla…