1 Fêtes de Mai en Surrey (G.B.) : Danse des rubans, exécutée par les enfants…

2 Nehalenias : cf. suppl. pdf “fasnacht” en fin de § Carnaval…

3 Sortie du port : conservée de même sous le nom de "bénédiction de la mer" ou "des pêcheurs". À part la Crucifixion (et encore…, cf. Astro* 1) tout semble être resté païen dans notre ancien catholicisme européen (mais, cela ne saurait durer : « voici “le Temps des Idéologies ! »)

4 Brigitte, la déesse celtique du feu, se nomme Brii dans l'île de Man., Briid en Écosse. Elle semble avoir donné bride, "mariée", en anglais et… brue (belle-fille) en français. Le lit de paille qu’on installait pour accueillir Brii près de l'âtre était fait de la dernière gerbe récoltée, pieusement conservée depuis la moisson précédente (cf. aussi Berchta, in Mythologie* germanique, et Runes*).

5 Cavernes : ce que l’Église* nous a conservé à la Sainte-Beaume en Provence !

6 Feu nouveau: encore qu’on doive se rappeler qu’on transportait le feu dans des tiges de fenouil !

7 Navettes : c’est aussi la forme des “calissons”, une friandise d’Aix-en-Provence !…

8 Naples : Napoli, son nom vient de celui de la sirène Parthenopé "visage ou regard de vierge" qui s'était échouée sur les côtes de Campanie (après la Submersion diluvienne* de l’Europe du Nord).

9 Moine : ce nom vient de Mani-Men, lune-esprit… blanc.

10 Pièce en Or : dont le souvenir perdure dans les “pièces en chocolat” gainées d’aluminium doré.

11 Solaria : 7 ¤ c/o Jean-Christophe Mathelin, 7 rue Christian Devet, 75012 Paris.

12 Saturnales ? Jorge Amado a dit : " Le carnaval est l’évènement culturel populaire le plus important que peut connaître un pays ".

13 Mardi Gras : Les jours gras coïncident avec la quinquagésime.Dans le calendrier, mardi gras est lié au mercredi des Cendres, fête mobile,elle-même liée à la date de Pâques qui suit immédiatement la pleine lune suivant le 21 mars, c'est-à-dire l'équinoxe de printemps. Elle peut varier du 22 mars au 25 avril.Mardi gras et le mercredi des Cendres précédant Pâques d'une lunaison et demie sont toujours placés au moment de la nouvelle lune. Mardi gras peut donc se situer au plus tôt le 3 février et au plus tard le 9 mars. » Maj 18-10-04, vu sur <joyeuse-fete.com>

14 Nehalenias : cf. suppl. pdf “fasnacht” en fin de § Carnaval…

15 Sortie du port : conservée de même sous le nom de "bénédiction de la mer" ou "des pêcheurs". À part la Crucifixion (et encore…, cf. Astro* 1) tout semble être resté païen dans notre ancien catholicisme européen (mais, cela ne saurait durer : « voici “le Temps des Idéologies ! »)

16 Bacchanale : en l’honneur de Bacchus/ Dionysos le dieu récurrent du printemps…

17 Celtes : « C’était carnaval antique tous les jours chez eux : avec “l’amitié de la hanche” des druidesses, c’étaient des Saturnales pendant tout le stage d’initiation ! » Euphronios Delphyné.

18  La fête de saint Antoine abbé, patron des animaux et du feu, est parfois considérée comme la célébration liminaire du carnaval.

19 Rappelons que la Fête des Fous, dont le centre semble être la cathédrale de Chartres, faisait suite à l’origine à la fête de l’Ase/ Asne à l’occasion du solstice d’hiver re-calant le calendrier lunaire !

20 Narragonia : Pline affirme déjà dans son L.IV que l'on embarquait pour Thulé° à partir de l'île de Narigon. ( Màj du 16 janv.? 06 Coupi@)

21 La frustration vient : nous qui rêvons notre vie devant la Télé au lieu de la vivre, nous en savons quelque chose : même la Politique qui est “l’art d’organiser la cité” est devenu un “faire semblant“ dans nos sociétés de spectacle car « de nos jours l’hystrion est Roi ! » Euphronios Delphyné.

22 Fasnacht : d’étymologie différente de fasten “jeûner” (†), le mot vient de Fassenacht ou Faselnacht “nuit du badinage” (orgie) car Fas = fash = zeugen “témoigner, engendrer, procréer” d’où ce Fasching “Carnaval”. La Zeugungfest der Ingväonen est la Fête de Procréation des Ingväonen, la Grande Hiérogamie* qui mettait en scène les Dises ou Idisen, c’est-à-dire les prêtresses d’Idunn, la déesse aux Pommes d’Or ! L’étymologie latine du mot “fête” n’en est pas une contradiction puisque la procréation est “la plus sacrée*” des activités !

23 Rex Galli : cf. Gallia, Gaïa, papegay, papagallo, cf. Papageno in art. La Flûte* Enchantée. Cette coutume (ou rite*) mettait en valeur les qualités de vaillance et de combat, donc de virilité de l’animal ; mais elles mettaient en valeur la qualité de sélectionneur d’une race de coqs du gagnant avec un évident jeu de mots sur “coq” et “sexe* masculin” : n’est-ce pas là, la cause de ce nouveau génos
   Vu dans La Clef de Rabelais : “En Kaldée, la femme du Soleil (Samas) de nomme Goula (…) Got s’écrivait Gault au temps de Rabelais et, jadis, un pape gault ou pape guay était un perroquet. Beaucoup de pisittacins se vient dans l’ornementation romane : mais dès le treizième siècle, le coq, animal gaulois, semble devenir l’emblème des gouliards, ils l’ont mis dur la croix de fer des églises dès le retour des croisades, il y est encore en l’honneur de saint Gaut, saint Gall ou saint Coq...” màj. 11 déc. 05.
   Vous pourrez lire un article supplem.pdf sur le papegay en fin de ce §… !

24 Coq rouge : c’est le Rote Hahn° que les lansquenets de la Guerre de Trente Ans “mettaient au clocher” en signe de révolte… °Hahn de l’Indo-européen *Khan “chanter” ou “chose creuse” (qui chante ou résonne : roseau, bidon). Il est devenu le “drapeau rouge” rote faine des Germains.

25 Carême : de carmen “chant, réponse d’un oracle, enchantements, formule religieuse”. Cette racine a aussi donné le mot “charme” (cf. Magie*). Un étymologie “post-chrétienne” – donc bien-pensante – veut le faire venir de “quarantième” : c’est gros…

26 Binche : Musée international du Carnaval et du Masque : cf. supplément.pdf en fin de § !

27 Rameaux : « La fête des Rameaux est une sorte de prologue des cérémonies de la Passion et de la fête de Pâques dont la date n’était point mobile à l’origine. La Passion fut d’abord fixée au 25 mars, jour de la passion d’Attis qui coïncidait avec l’équinoxe (de printemps) dans le calendrier Julien. » André Neyton, Les Clefs Païennes du Christianisme, Belles Lettres.

28 Ostara : on dit habituellement que “astre” vient du grec aster, par le latin astrum mais, puisque l'étude des langues septentrionales nous montre que le mot pluriel Asteron est l'ancêtre frison du franc ostar et de l'anglo-saxon eostur devenu Easter en anglais (Pâque), nous sommes obligé de considérer que tous ces "corps célestes" qui se lèvent à l'est (Aurore, Eos, Austro, Ushas) ont donné par dérivation les noms d'astre, d'Est, d'aurore, d'Ostara chez tous (!) les peuples “indo-européens”.

29 Eostre : « Le nom d'Eostre provoque toujours le nom de l'hormone femelle œstrogène, quels jeux a son rôle évident dans le cycle de la fertilité humaine ! » màj xxx@

30 40 : ce nombre structure le calendrier des fêtes christiques/ solaires qui se répètent tous les quarante jours : Rameau –> Pâque –> Ascension…

31 Ébro : un rameau des Celtes Éburons, “Ceux de l’If Ébur”, se rendit en Espagne/ Ibérie en passant par l’Asie Mineure, l’Égypte, puis la Lybie. Ils sont une des trois composantes culturelles des Hébreux avec un H, avec celles des Mésopotamiens et des Égyptiens…

32 Moïse : « Certains pensent que Moïse fut un disciple d’Akhenaton, et qu’il transmit son enseignement aux Hébreux. La meilleure preuve en est fournie par le Psaume 104 de la Bible qui est une copie conforme du Grand Hymne d’Akhenaton. » Martine Lahache, revue Solaria 9 : c/o J.C. Mathelin, 7 rue Christian Dewet, 72012 Paris.

33 Paskha : Assez inattendu, le mot hindou pâsha signifie… “piège” !

34 Printemps : curiosité biblique, on n’y trouve pas une fois son nom…

35 Serpent : Dans cette croyance (superstitio) il y a amalgame avec un autre élément : le serpent est symbole d’éternité car, du fait de ses mues, il est périodiquement renaissant…

36 Feu solaire : Puisque le 1er Mai est la Fête des Feux de Beltaine, rappelons ici que l’origine du feu* et quelques-uns de ses rites sont traités dans l’article de ce nom, avec ses Vestales…

37 « En Europe, subsistent des traditions folkloriques au cours desquelles se déroulent encore des simulacres de sacrifices humains qui sont des rappels d’anciens rites*. Ainsi en Vendée, au moment du battage de la moisson, la fermière est enveloppée de paille, poussée dans la batteuse, puis retirée, lancée en l’air sur une couverture comme le blé qui est vanné. » (voir Tome I, “Le festival communautaire du 1er Mai, IIème Partie”)
Ceci est un très joli rite* de leurs ancêtres Santons conservé par le folklore paysan…

38 Sacrifier : quand on sait la quantité de bois qui est nécessaire à une incinération publique aux Indes, nous ne voyons pas le condamné très “cuit” dans une cage d’osier !

39 Vergeld : dédommagement, en argent, en biens et en esclaves (main d’œuvre de remplacement).

40 Auto-absolution”: on peut d'ailleurs le vérifier tous les jours avec les projets guerriers de piraterie pétrolière qui maintiennent la Terre entière dans l’angoisse !

41 Tre pas, trois pas en initiation*, tout comme pendant la veillée d’Asclépios sous la Tholos.   La connaissance est celle des “mystères” de la destruction de “l’Île blanche” (lumineuse), Leuky pour les Grecs et l’Île Verte, “l’Île des femmes” de nos folklores occidentaux…
 « On pensera au “trois pas de Vishnou”, dont deux sont visibles et pas le troisième, ce qui équivaut à une année de huit mois de clarté et quatre mois d’obscurité. Le premier pas est l’Aurore du nouveau cycle, puis de l’année. » C. Levallois.

42 Pharmakos, c’est le bouc émissaire : si le malade meurt malgré les potions, c’est la faute de l’apothicaire (en grec, pharmax signifie “poison”) !

43 Saint de Glace : en fait, les trois suivants ne sont pas des “saints de glace” mais, pour les Provençaux, les Cavalié de la Fré” (froid) : Mamert le 11, Pancrace le 12 et Gervais le 13. Depuis peu le Vatican les a “remplacés” par Estelle, Achille et Roland (« Fait pas bon être Saint par les temps qui courent : c’est l’Épuration ! » E. D.)
Remarquons que l’un d’eux s’apellait saint Mamert ce qui en Osque signifie Mars (le protecteur des moissons, donc identique à Thor*) : c’est donc bien lui qu’on invoquait avait l’invasion de cette exotique et syncrétique Nouvelle Foi ! On a aussi : Georges “le laboureur” en grec, le 23/4. Et Marc “la marque” ou Marc’h le cheval de mort, le 25/4.
Il faut penser ici au recouvrement ultérieur des héros sauroctones de nos mythologies par ces hypothétiques “saints” que sont Georges, Michel et Jacques le Majeur dit le Matamore, c’est à dire “le tueur de Maures”, lesquels Maures n’étant ici que des cosmiques ou météorologiques… “Noirauds” biens souvent figurés comme Dragons* diluviaux…
La dérive de “Noirauds” en “Maures” est cependant souvent basée sur des événements historiques indéniables et – nonobstant les inversions inadmissibles qu’en fit l’Église*, comme celles que l’on peut trouver en Bavière ou en Angleterre – elle se fonde sur des points de l’histoire relative à l’occupation sanglante du Languedoc et aux deux poussées “arabes” vers Poitiers et vers Autun pour la France, et jusque sous les murs de Vienne pour l’Autriche. Le folklore de la haute vallée de l’Aude en a concervé le rite* festif du Sinnebelet qui voit « deux autochtones rosser d’abondance un Sarrazin à coup de racines de buis ! » Islam e Paises d’Oc, excellent article de la revue Montségur, n° 7 janvier 2002.

44 Perdrix : « Dans la Palestine (des Philistins)n, cette cérémonie qu’on appelait Pesach, “le boitillement”, avait encore lieu, selon Jérôme, à Beth Hoglah, “l’autel du boiteux”, et les fidèles dansaient à l’intérieur d’une spirale (cf. notre art. Labyrinthe*). On a identifié le lieu avec l’Aire d’Atad sur laquelle avaient lieu les lamentations du deuil après la mort du roi boiteux Jacob, dont le nom signifie peut-être Jah-Aceb, “le dieu-talon”. Jérémie met en garde les Juifs contre ces rites* canaanites orgiaques : “La perdrix, dit-il, s’entoure de petits qu’elle n’a pas mis au monde”. » Graves, op. cit. (cf. aussi Ostara/ Pâque, supra). On remarque ici, à nouveau, l’obsession de pureté raciale et culturelle du peuple Ebro/ Hébreu, isolé dans un milieu hétéro-gène !

45 Effacer : C’est curieux cette lutte permanente contre la reconnaissance du Divin dans la Nature : ne srait-ce pas là l’œuvre de “leur” Créateur ? J’avoue ne pas comprendre…

46L’Invention de la Sainte Croix” fut “inventée” bien tardivement et bien à point pour éliminer un autre signal fort pour les païens qui pourrait être la constellation du Cygne (Grue sacrée) ou astérisme/ Rune* Gebo X, dite ”don des dieux” ou Croix de Taranis !…

47 Reines de Mai : ancêtres de nos actuels concours de reines de beauté qui ont un ancêtre antique dans la la Kallistéia de Lesbos (gr. kalli “beauté”), du temps heureux où la Beauté était sacralisée* !
« C’est par la beauté qu’on s’achemine vers la liberté ! » Schiller.

48 Aubépine : ou blanche épine, d’Albio, qui a le sens de blanc et de monde, ”monde blanc”, mais aussi d’Elfe-Blanc. Alb-Buis a donné le patronyme Albuisson, (cf. aussi Elfes* et Nains*). L’Aubépine est aussi l’arbre sec Api, qui donne des pommes d’Api en hiver, cf. art. Arbres* sacrés. Son nom dans les Îles Britanniques est Holy Thorn “épine sacrée”, qui aiguillonne (mais qui est dangereuse aussi : abcès) représentée par la Rune Dhorn.

49 Viol : comme si, de plus, la chose était anatomiquement possible… « Ah, les crétins ! » E. D.