1 Le galet gravé “au cerf” de Glozel…

2 Histoire : “Avant l’écriture (hypothèse gréco-phénicienne) c’est la préhistoire et, après, c’est l’histoire qui débute par l’antiquité”. Mais nous, qui nous nous croyons quelque peu “poète”, nous n’hésiterons pas à créer – ou à recréer – ce qui, avec une certaine logique interne, nous est “dicté” par l’intuition que crée l’amicale fréquentation des Dieux du Nord, mais aussi de leurs cousins du Sud

3 * N. B. : Les mots avec astérisques* sont des titres d’articles consultables aussi dans le Livre CD de l’association qui regroupe la totalité de notre étude sur Les Origines de l’Arbre de Mai comme étant issu d’une Atlantide boréenne pré cataclysmique du XIIIème s. AEC.
    Les articles des 2 parties : Thèse et Folklore + “Les Sources” sont chargés progressivement sur le site et sont mis à jour en fonction de nos récentes découvertes et de vos interventions par courriel@

Visitez nous donc régulièrement puisque :
“Il y a toujours du nouveau” sur < racines.traditions.free.fr > !

4 Écrire : et par conséquent “lire” qui puise dans les formes “chanter, interpréter, déchiffrer, rassembler (Vindasebara, in rev. Message du GDG.)…

5 Iroglif : nous utilisons ici le terme germano-scandinave originel, d’autant plus que le terme grec ne doit être utilisé que pour ce qui concerne l’écriture sacerdotale égyptienne.

6 Alphabétique : mais qu’avec un minimum de fidélité nous devrions appeler futharkienne, mais qui nous comprendrait alors ? Alphabet est donc une convention (mais pas si innocente qu’il y paraît…)

7 Série sacrée : cf. le Trinôme sacré*, les Œttir, dans l’article Runes*…

8 Culture : les préhistoriens parlent de culture en décrivant des industries, puis les historiens parlent de civilisation après l’arrivée de l’Écriture…

9 Moins abstraites : des sortes de “bandes dessinées” à l’usage de la population locale en somme, mais en rupture avec l’alphabet primordial des fondateurs æguptoï…

10 Idéogrammes :  « Les pictogrammes sont des éléments isolés alors que les idéogrammes (qui à l’origine sont d’anciens pictogrammes) constituent un système (…) Toutes les écritures ont une origine idéographique. » L-J. Calvet.

11 Acrophonie : le son du début du mot est représenté par son initiale qui devient ainsi un phonogramme, puis donnera un alphabet, lequel permettra la transcription phonétique de n’importe quelle autre langue. Dans le cas des runes* – qui sont un système astronomique, d’où leur nom d’astérismes – l’évolution est caractéristique d’un système original et fondateur dont l’évolution est complète depuis le symbole/ idéogramme jusqu’à l’alphabet en passant par le stade acrophonie/ phonogramme, et non d’une adaptation phonétique depuis un système acculturant étranger : ce raisonnement évident aurait dû reléguer la pseudo filiation Phénicien – Grec – Latin – Runes aux Musée des originalités

12 Glozel sur Internet : www.glozel.net Le site dispose de 120 photographies libres de droit : un incroyable trésor ! Association Les Amis de Glozel : 03250 Ferrières-sur-Sichon; tel. 04 70 41 12 96.
Les Glozel News Letters jouent un grand rôle dans les universités anglophones du monde!
  (Hotel du Centre, Gilles Vincent, 03 70 41 10 06 de la part du site RT…)

13 Fradin : cet agriculteur “tomba dans une tombe” en labourant son champ quand il avait 17 ans et ainsi "inventa" le site appelé aujourd'hui "le champ des morts".

14 Petit par la taille mais géant par son contenu !

15 Pauvre : chacun le sait, le diktat post-biblique de “l’Ex oriente lux” étant passé par là…

16 Meule : et dolmen dans le remarquable ensemble qu’est l'horloge ou calendrier astronomique dit Pierre Geniche ou Monument Giniche au Nord du proche village de Cros.

17 1995 : Le Bulletin des Amis de Glozel du 9 avril 04 nous informe du décès d’Émile Fradin et de la décision du Conseil Général de construire, enfin, un Musée !

18 Glozel : quelle peut bien être l’origine de ce nom ? Quelle “glose” secrète s’y pratiquait dans les cérémonies et les rites* festifs du “champ des morts” ? Oserons-nous imaginer, qu’inversement aux enseignements “officiels”, les Périgourdins, les Magdaléniens même, pourraient être à l’origine de notre symbolique, puis de l’Écriture européenne ? Et pourquoi pas : le propre des hypothèses est qu’aucune ne devrait être interdite !
Or, en l’espèce, ce n’est pas le cas : pour la Neu Helle 1997, la revue Science (?) & Vie vient de nous surprendre en confiant la rédaction d’ « un article massacrant, que dis-je ? “bavant” sur Glozel, à un étudiant-perroquet bien digne d’une Maître-à-penser-soixante-huitard-attardé. Ainsi, la “bonne parole” d’une Alma Mater de bazar conditionnera de nouveaux étudiants bien policés/ pavlovisés et quelques lecteurs ahuris qui “iront – de ce pas – cracher sur la tombe”… de leurs ancêtres ! » Euphronios Delphyné/ Courrier. (Issu du sérail, notre ineffable ami sait de quoi il parle !)

19 Bascoïde : l’ancienne et vaste Vasconie ne nous est plus connue de nos jours que sous le nom de Gascogne ! Dans ces conditions, le “monde occitan aurait-il pu être l’un des deux composants, Vane ou Ase, de la célèbre Guerre* de Fondation* relatée dans la mythologie nordique ? …

20 Os pétrifié : cf. supra, les découvertes faites à Glozel…

21 Tel Aviv: On comprend mieux l’intérêt de cette Université pour notre site de Glozel !

22 Philistins : l'étymologie tardive se rapportant au Phoïnix, un coquillage marin qui donne la pourpre utilisée traditionnellement par les Indo-Européens – celtique Mile, grec miletos – est, de ce fait, très certainement à inverser : c’est donc une étymologie “secondaire” !

23 Abscons : Pas tellement, il existe dans certaines inscriptions runiques !…

24 Petites branches d’arbre : il s’agit là, soit d’une expression telle que Buchstabe “lettre” chez les Germains (depuis “baguette de bois”, cf. art. Runes*), soit d’une communauté culturelle (qui nous semble aller de soi) avec l’alphabet celtique Bet-lui-nion…

25Sémites : stricto sensu, il ne s’agit que d’un groupe linguistique, attesté par ses écrits ! On retrouve là la même problématique que pour l’indo-européen* mis à part qu’il est une langue mère archaïque éteinte mais, reconstituée

26 Leurs langues : l'écriture phénicienne ne contenait plus que 21 des 24 signes "pré-runiques*" ou des 23+1 (le cerf Alce, cf. Irminsul*) signes du galet de Glozel (supra). La valeur phonétique de la langue sémitique qu'ils avaient dû adopter pour gouverner un pays dans lequel ils étaient fortement minoritaires, quoique les "plus savants", les avait conduits à perdre certains signes d'autant plus que le zodiaque oriental se contentait de 12 signes au lieu des 24 Dieux-Constellations-astérismes du calendrier zodiacal des Atlantes* boréens (cf. l’article Astrologie* nordique).

27 Sémitique : si cela était, toutes les lettres seraient sémitiques, à supposer qu’il n’y ait pas eu, tardivement, une parenté partielle par ceux des Ebro/ Hébreux qui étaient d’origine celtique-éburone : remarquons donc qu’on peut tout aussi bien dire le contraire puisque A = Alfe, Elfe* ; B = Bestla, etc. Beta se prononce "veta" et Delta, "thelta" et nous pourrions écrire : Cétus/ Thetys, le lac baltique, est le celta (D) du monstre Ceta car c'était là, sans doute, la matrie archaïque (matrice) des Celto-nordiques dont on sait qu'ils "étaient individualisés depuis le II° Millénaire"… On comprendra qu'ils aient émigré d'un pays périodiquement submergé depuis la fin de la glaciation pour s'établir dans le bassin du Danube (Dan, Don) d'où rayonnera la civilisation métallurgique celtique de Hallstein.
  Å ce sujet, Robert Graves, précise : « Alpha fut la première des dix-huit lettres parce que alphé veut dire honneur et que l’Alphée est le fleuve le plus remarquable… Dans la langue des phéniciens aleph signifie boeuf… la Béotie est le pays des boeufs. » …leur ancien pays… et le culte du Boeuf était très établi chez eux (cf. art. Atlantide*, ainsi que Ulysse* et Nausicaa).

28 Oghams : « la fin du 2ème siècle EC voit naître l'écriture 'oghamique' en Irlande et dans l'ouest de l'île de Bretagne.La tradition fait remonter cette écriture au dieu Ogma des Thuata Dé Danann. »

29 Authis : la “langue des oiseaux” (cf. art. Gioïa, la Joie des Troubadours*), qu’il ne faut pas prendre pour une étymologie sérieuse, à l’avantage d’ouvrir aux curieux des portes inopinément fermées . Ainsi nous verrons dans Authis une “racine” germanique aus ou is/ issant en vieux français (cf. art. Blasons*) : n’est ce pas là le propre du printemps récurrent qui “surgit” à “l’aurore de l’année” ?

30 Série sacrée : 20 ans ! ce qui réduit à néant la prétention des hagiographes chrétiens de Charlemagne* en tant “qu’inventeur de l’école” !

31 Vieillit : ce raisonnement imparable nous permet de comprendre les erreurs “sociales” des “peuples du livre” adonnés au monothéisme et au respect de “la lettre”…

32 La mort de leur culture : comme d’aucuns voient dans la Télévision la mort de la nôtre !…