2 N. B. : Les mots avec astérisques* sont des titres darticles consultables aussi dans le Livre CD de lassociation et ils correspondent au deuxième volume de notre étude sur Les Origines de lArbre de Mai comme étant issu dune Atlantide boréenne pré cataclysmique du XIIIème s. AEC.
Les articles de ce 2° tome Les Sources sont chargés progressivement sur le site et ils sont mis à jour en fonction de vos interventions par courriel @
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Il y a toujours du nouveau sur < racines.traditions.free.fr > !
3 La Gargouille de Rouen, avec le privilège de la Fierte de saint Ouen (<Owen) de gracier un condamné à mort, a été considérée comme un vestige du paganisme* utilisée par lÉglise*, en l'inversant pour sa propre gloire. Il s'agissait probablement du vieux rite de condamnation à mort par strangulation et du dépôt du condamné dans les tourbières (dont P.V. Glob nous entretient dans son livre sur les Hommes des tourbières, Fayard, 1965) : si ce condamné était voué à Odhin-Wotan* le Dieu des pendus c'était pour faire un exemple et en aucun cas pour faire un "sacrifice humain" !
Le garrottage est resté le châtiment suprême en Espagne et
dans certains états américains !
4 Graouilli : vient du germain de Lorraine graülich effrayant !
5 Samson est lhabituel résultat dune substitution à notre Bon Géant Gargantua/ Hercule opérée par lÉglise* : Conservez ce que vous ne pouvez pas supprimer! !
6 La Tarasque, une étrusque bête, figure pour la première fois dans un cortège en 1465, époque où elle est fort chrétiennement normée avec laide dune sainte Marthe de circonstance (cf. § cheval in art. Bestiaire*). Oserons-nous faire ici un rapprochement entre cette hypothétique Marthe (Macht) et la racine grecque machia, celle qui figure dans Gigantomachie > art. Déluges* ? Osons-le !
Màj 12 avril 04 : « Bien que nous ne disposions que dune documentation fort réduite, deux mythes concernant Taranis semblent transparaître. Le premier mythe* est celui du combat entre le héros Smertrios opposé au loup de Taranis et qui aboutira à la défaite de ce dernier. Le second mythe est celui, classique dans le monde indo-européen*, entre le dieu de lorage, à savoir Taranis, et un dragon destructeur qui est, en Gaule, Tarascus, la fameuse Tarasque médiévale. La christianisation de la Gaule a transformé ce mythe en celui du fameux combat entre Saint-Georges et le dragon. » Thomas Stahler, revue Terre & Peuple.
7 La Goule des enfers! Signalons que, pour les actuels Berbères, les dolmens ont été construits par les Ghouls, des ogres qui dévoraient ceux qui osaient sattaquer à leur sépulture (pour leur langue, lamazigh, voir lintéressant site http://www.amazighworld.com ).
8 Wurm : racine Pré indo-européenne VRM, > doù nos mots vermine, vermisseau.
9 Dragon/Wurm : sur une monnaie Celte des Boïens du Ier s. AEC, M-a Bratislava.
10 Trou Baligan : cette description et son nom en font un lieu dobservation solaire, un ballon de fixation calage du calendrier au moment du solstice dhiver
11 Il existe aussi des chevaux-jupons chez les Gayants (Géants) de Douai ainsi que chez le Reuze (alld Riese géant) de Cassel (aidé dun Coq-jupon, une coquadrille/ cocatrix), un cheval Diriq à la Ducasse dAth en Hainaut où leur Géant Goliath (gaulois) est terriblement
solaire.
On trouve aussi le cheval jupon à Pèzenas agrémenté du Poulain de Louis XIII (ce jeune Bayardou/ Dieu-Fils nest pas encore le Roi-Soleil) et aussi des Danses* des Soufflets (Souflaculs) à Mèze dans le département de lHérault où lon fête aussi le Buf, ainsi quun chevalet jupon
12 À la Grolle enseigne des Hommes Libres sattache lidée de Liberté (cf. art. Graal*)
13 Le Don de la Parole : cest à dire quil grondait comme un volcan avant quil ne recouvre la terre de ses replis/ raz de marée. Il fallait donc interpréter ce signe avant coureur pour être ainsi un oracle ni plus ni moins quHaroun Tazieff le fut souvent en notre XXème siècle!
14 Chez les Étrusques cest le Griffon : corps de lion, oreilles dâne et bec de rapace : consacré à Apollon*, et gardien des ses trésors en Hyperborée* !
15 Dracs : dragons deau ! Citons quelques autres serpentes que sont les rivières, comme lIsère ainsi que tous les noms de rivière contenant le mot pré celtique Er (quon trouve dailleurs tel quel au pays Basque) et même dans Héra du Marais, Eridan/ Eider, Ère, Erra, Eure, Arroux (Morvan), la Lerre au Mont-St-Michel, la Cleurie (Vosges) ancienne Eurie, la Lerre (lErre), lAire, lErdre, lEure (qui passe à Uzès, non loin du Pont du Gard) et lEure normande ainsi que les Hers, Hérault, Cher, Gers, Gier, Lozère, Truyère, Vezère et Oder. Citons aussi la racine Ar, ara, eau courante dans Arc, Ardèche, Argens, Aronde qui arrose le médiolanum de Gournay-en-Brie, ainsi que lArve, le Gard, la Loire, lAhr en Suisse, lAr qui traverse les Milles (Plan dAillane en Provence), lAriège (de aurigia le gouilla dor) et les Sar, Saar, Sarthe, Isar, Isara (Oise), entre autres, car je nose vous parler de lErèbe la sombre, labri sous roche dHadès-Pluton qui est le Hel des nordiques où sont enfouis les grands Ancêtres les Dieux* depuis la Grande Submersion, ni même vous parler de la Somme dont lancien nom est la Samara qui baigne Amiens (Samarobriva), analogue à la Samarie chez les Galates du Moyen-Orient ou pays de la rivière des Sam (des voisins des Sem/ Sémites)
16 Jormundgrund : signifie limmense terre (fondement), Jord étant dautre part la terre cultivée > garden/ Garten/ Gaard/ Grad. Il sagirait alors dun tremblement de terre ? Le symbole du lézard est inséparable de lArbre du Monde dont il a le même graphisme cela peut expliquer que dans certaines traductions, voire dans lEdda elle-même, Jormungrund soit confondu avec Yggdrasil : lusage de la kala (un cryptage sécuritaire, cf. art. Troubadours*) favorisé par les ancestrales kenningar (métaphores poétiques à récurrence culturelle) ny est probablement pas étranger
17 Boyer : apportons ici une précision, ces barques de la famille des canots ont un nom générique Kan, Kahn, doù le nom tribal des Cananéens qui débarquèrent en Canaan.
18 Proscrits : restés païens, ils étaient proscrits par leur propre roi devenu chrétien depuis peu. En général, ils partaient volontairement comme les Vandel (doù le nom des Vandales) pour fuir le totalitarisme de cette royauté de droit divin bien loin de lesprit aristo-démocratique de leur assemblée dégaux, le Dag (Diète) des Anciens du Clan* qui élisait leur roi !
19 Russes : les Rouss sont des Suédois dorigine, ce que le mot signifie. Cest le même mot que Goths (en prononçant le G comme les Wigoths espagnols). Ceux-ci venaient aussi de Suède, de lîle de Gothland (Rossland). Quoique certains auteurs les appellent Slaves du Nord, le mot Slave devrait être réservé à une communauté linguistique, de toute façon bien postérieure à la fabrication du slavon par les évangélistes Cyril et Méthod En fait, il sagit là dune légende édifiante.
20 Jörmungandr : Le serpent de Midhgardhr « Midhgardhsormr qui tient le monde en place en le serrant dans les anneaux de son corps porte un autre nom (qui sapparente étymologiquement à une autre création germanique sappliquant délibérément, elle aussi, à un arbre sacré, Irminsul*, le gigantesque pilier) : Jörmungandr signifie proprement «baguette magique colossale ( ) Le principal ennemi du serpent cosmique Jörmungand (Jormungandr) qui, symbole* du mal enlace le monde en attendant de se dresser à la fin des temps contre les dieux, est Thor. (Mais) selon la tradition, il nest pas parvenu à écraser le crâne de Jörmungand. » Régis Boyer. LOcéan est invincible !
21 Saint-Georges tirerait en fait son nom des archaïques Gorgon, Gargantua, et non de georgios le laboureur, le paysan grec mais, selon la logique du tiers inclus, ceci nest pas forcément contradictoire !
22 Fafnir celui qui enlace est bien un double ethnique de la terrible Nidhogg .
23 Ladon : on dit aussi quil se nommait Phorcys le sanglier, cf. aussi le sanglier d'Erymanthe et les mythes irlandais du (diluvien) sanglier qui retourna leur pays
24 Hercule : lHergest des Celtes et lOgmios des Irlandais, chez qui le dragon Addanc qui vivait dans une grotte, en digne équivalent du Minotaure, réclamait périodiquement son tribut de jeunes gens. Pérédur (Perceval) réussit à le tuer grâce à la pierre qui permet de voir sans être vu que lui a remise lImpératrice (J.P. Persigout). Cf. spath in art. Ulysse*?
25 Sept dun coup est la devise cousue sur la ceinture du Petit Tailleur des Grimm !
26 Borée : remarquons la parenté avec Bor, Burr ses fils (et aussi les Bouriates, des cousins). Dans liconographie, Borée est souvent représenté avec un enfant dans son ventre : cest suffisamment significatif de notre point de vue si particulier pour être souligné !
27 Cécrops : ce "visage muni d'une queue" pourrait être rapproché de l'usage de couper long le cordon ombilical des garçons et court celui des filles. On sait que ce cordon, après qu'il fut tombé, était conservé jusqu'à l'âge scolaire ou jusqu'au jour du service militaire.
28 Linhumation était pratiquée sur les sites côtiers du maglemosien au moins au Vème millénaire, tant au Danemark quen Suède, dans les Pays Baltes, la Russie, la Bretagne, lAngleterre et le Portugal, ce qui recouvre la carte des Mégalithes Le mort était parfois couché sur des bois de cerfs (cf. art. Cernunnos*), ce qui peut être la marque de son statut social. À Vedbaek (Dk), une femme avait près de son dos une ceinture ornée de dents de phoques. Une autre, âgée de dix-huit ans et probablement morte en couches, pourrait avoir été nattée avec cette décoration en dents de phoques, à moins quil ne se soit agit dune cape ou dun capuchon car les dents sont regroupées près de sa nuque. Près delle, un enfant mort-né gît, enveloppé ou déposé sur une aile de cygne : après avoir sauvé les hommes de la mort polaire en 8500 AEC, il emportait les âmes et les rapporterait sous forme de nouveau-né, ce que le folklore alsacien a conservé avec sa cigogne portant son petit fardeau sacré dans son bec. Ainsi, dans l'enfant à l'aile de cygne emporté par "l'aile protectrice de la divinité", on voit une formule consacrée qui, dans lEurope* du Nord, remonte à loin : 5 à 7.000 ans !
29 Fantôme : nous avons reporté textuellement cette citation, cependant nous lui préférons de loin lumineuse Vie (vouivre)
30 Salatin : pourquoi mon imagination (débordante ) me fait-elle penser à Saladin ?
31 Yseult : màj 29-2-04 : notre fidèle correspondant fdes1@ nous transmet une citation (vue dans larticle Kyot vur sur le site <les baladins de la tradition>) qui voit les choses différemment : « Notons également que dans la langue celte*, le mot Soleil est féminin alors que le mot Lune est masculin. Ceci est illustré par deux autres personnages du Cycle du Graal : Tristan et Yseult. En effet, Tristan (la Lune) ne peut vivre plus de 28 jours sans voir Yseult (le Soleil).»
Nous avons vu par ailleurs que Yseult/ Essylt = Aurore. Cest assez Balderien cela, non ?
33 Arbuda : comment ne pas penser à la maîtresse de Loki, Angrboda avec qui il conçut le mortel Fenrir ?
34 Voleur de vaches : mythème que lon retrouve dans les mythologies grecque et celtique, doù lon déduit son ancienneté
35 Ambre* : nous avons vu à l'article de ce nom que l'ancien encens était de l'ambre brûlé et il faut préciser que l'odeur en est pestilentielle et bien digne de celle d'un dragon serpent
36 Geb : cf. art. Runes*, Gebo X don des dieux ou croix de Taranis
37 LArbre de Mai apparaît comme preuve archéologique en ce lieu au IIIème siècle AEC, sans préjuger de lancienneté réelle du mythe* dont nous parlons par ailleurs
38 Doriens, en grec Dorôn, ceux du Don (archaïque, c.à.d. lEridan / lEider) cf. art. Atlantide*.
39 Serpents : de nos jours on parle humoristiquement de vipères lubriques
40 Marthe : on trouve aussi cette racine Mahrt/ Macht dans celui de la GigantoMachie/ Ragnarök/ Déluge* quon peut assimiler à un combat de chevaux fous courant sur la mer comme le raz de marée du XIIIème siècle AEC (cf. § Cheval et Harpies in art Bestiaire* des Dieux*). Mais cette Marthe nest là que pour remplacer Mercure sur les Ballons observatoires (cf. § Muhlespiele, in art. Astrologie* nord.), comme par ex. sur la Butte Montmartre à Paris !
41 Ce sens particulier de Dragonnier comme porte-enseigne nous conforte dans notre interprétation du Schellenbaum comme évolution dun caducée* militaire où lon retrouve les serpents/ dragons, cest à dire dun signe dambassade, de trève : le tout premier drapeau na-t-il pas été le drapeau blanc des parlementaires Tout ceci serait certainement plus évident si notre culture navait pas été détruite avec un tel acharnement mais, par bonheur, nous sommes nés résistants dans lâme !
42 en Russie et en Grèce : toutes deux orthodoxes, on a conservé une fidèle vénération pour larchaïque et païen* Georgios le Laboureur du Kosmos si nous en croyons le Carré Magique Sator que nous avons décrypté ensemble dans larticle Alchimie* !
43 Sort : cf. le mythème du Minotaure à Knossos (< gnose, connaissance)