1 Catastrophe : Màj 31 mai 04. « Les catastrophes par lesquels se terminaient chez les Grecs un cycle cosmique étaient soit le feu cosmique ekpyrosis qui brûlait le monde, soit le déluge kataclysmos qui au contraire l'inondait. » M-A Combes.

2 *N. B. : Les mots avec astérisques* sont des titres d’articles consultables aussi dans le Livre CD de l’association et ils correspondent au deuxième volume de notre étude sur Les Origines de l’Arbre de Mai comme étant issu d’une Atlantide boréenne pré cataclysmique du XIIIème s. AEC.
    Les articles de ce 2° tome “Les Sources” sont chargés progressivement (mais provisoirement) sur le site et ils sont mis à jour en fonction de vos interventions…

Visitez nous donc régulièrement puisque :
“Il y a toujours du nouveau” sur < racines.traditions.free.fr > !

3 Maglemose : “le Grand Marais”, c’est le magmog ou marmog des Celtes des Îles. « C’est à l’Ouest qu’est le berceau primitif de toute civilisation intellectuelle de l’Europe. » G. Wilke, Vom ursprung des Schrift, Vetter, Rochlitz. (Cité par le Dr Mourlet, in Les origines de l’écriture, Causse).
Màj Magemose du 8 Mai 04 proposée par Coupi@ : « FÉVRIER 2004 : Le "monde perdu" de la Mer du Nord enfin cartographié. Enfoui au plus profond de la Mer du Nord, gît un monde disparu : de vastes plaines où les hommes ont autrefois chassé aurochs et mammouths. Une équipe d'archéologues, de géologues et d'ingénieurs de l'université de Birmingham a combiné les dernières techniques informatiques pour concevoir une reconstruction en 3D de ce monde disparu depuis au moins 10 000 ans. Les dispositifs virtuels qu'ils ont développés incluent un fleuve de 600.m de largeur de la longueur de la Tamise qui a disparu quand sa vallée a été inondée en raison de la fonte de glaciers. La plaine, partie de la terre qui a par le passé joint la Grande-Bretagne à l'Europe du nord, a disparu il y a environ 8.000 ans et était précédemment très mal connue par les scientifiques. Le professeur Bob Stone, a déclaré à la presse que c'était le projet de réalité virtuelle le plus passionnant depuis longtemps car c'est un travail pluridisciplinaire qui permet de s'assurer de l'exactitude visuelle de cet environnement très riche, en se basant en particulier sur les plus récentes données sismiques. La flore, elle aussi générée par ordinateur, a été reconstituée à partir des traces de pollen et de plantes extraites à partir d'échantillons géologiques du fond marin. » D’après le Journal "Scotsman" 15.02.04.

4 Déglaciation : Màj 31 mai 04. « Aujourd'hui, tous les scientifiques sont d'accord pour admettre la réalité de certains (mais pas tous) grands cataclysmes retenus par la tradition. Un seul paraît réellement d'envergure mondiale : c'est la fin de la glaciation et la déglaciation associée qui a eu des conséquences inimaginables. Mais ce cataclysme a surtout été remarquable par sa durée et il ne peut être comparé à un cataclysme de quelques jours comme une éruption, de quelques minutes comme un séisme ou de quelques secondes comme un impact. » M-A Combes…

5 Sol… Ce qu’on peut facilement imaginer devant les dioramas du remarquable Musée de Tautavel en Roussillon.

6 Fortement baissé : lorsque la banquise est sur la mer, ce qui est le cas du Pôle Nord actuel, 90 % de la glace est sous l’eau et le niveau des mers ne serait affecté que par les 10 % de son volume (ce qui émerge) si elle fondait. Mais lorsqu’elle est sur terre, c’est 100 % qui s’écoule alors dans la mer : 90 % de plus, c’est donc la catastrophe assurée !…

7 Climat : rappelons nous – c’est des plus important – que 60% de la chaleur de l’Europe Occidentale actuelle nous est apporté par l’actuel Gulf- Stream…

8 Mer du Nord qui s’est appelée autrefois Océan Germanique du Nord, la Baltique s’appelant alors l’Océan Sarmatique.

9 Bouchon glaciaire : ce qui n’empêcha pas la première invasion humaine le long de la côte.

10 Ces australoïdes ont tous été tués jusqu’au dernier par de nouvelles populations, mongoloïdes, arrivées après la fonte du bouchon glaciaire d’Alaska, tout au moins les hommes seulement si l’on en croit les gravures pariétales qui nous montrent des personnages ithyphalliques. On ne sait s’ils ont conservé toutes les anciennes femmes, car on ne retrouve que quelques uns de leurs gènes dans de lointaines tribus de l’inhospitalière Terre de Feu (ce qui confirme les dires de Jean Raspail)…

11 Coracle : mot anglais, du celtique curragh, ou cailleach (qui est manifestement parent du kayak eskimo) “bateau d’osier tressé recouvert de peaux, à usage fluvial ou lacustre” : L’émission TV/ La 5 du 10-1-04 “Mais qui étaient les Premiers Américains nous a apporté des preuves confortant cette intuition. Selon les travaux de Wallace, D. Stanford et B. Bradley, un voyage des Solutréens (comme le font les eskimo) se fit en coracle au -XVème Millénaire AEC, avec leurs armes de pierre taillée solutréennes (en feuille de laurier) jusqu’au N-E des USA, où elles sont devenues les “clovis” !!

12 Époque : c’est aussi l’opinion de William Fitzhugh, directeur du Centre d’étude arctiques au Smithsonian Institute (voir l’article Le premier américain était-il européen, traitant de la découverte de ”l’homme de Kennewick, un caucasoïde de type indo-européen âgé de 9.500 ans dans le n-e des USA” (article rédigé par Alexandre Dorozynski in Science et Vie N° 961, p. 88 sq.). Cela est en tout cas de nature à expliquer les parentés sérologiques entre les Guanches des Canaries et certains des Nord-amérindiens…
MàJ 23-5-03 proposée par Brice@ : « J'ai aussi trouve sur le Web, que lorsque les îles Canaries furent decouvertes, il y vivait un peuple nommé Guanches composé de deux sortes de population, une de 1m,80, blonde et de peau claire, l'autre de 1m,65, cheveux bruns et de peau matte. Ces deux populations disaient venir d'une terre engloutie se croyait seule au monde. Les conquistadores les ont massacrées par la suite, car elles ne voulaient pas se plier a leurs exigences. Enfin, c'est surtout parce qu'il y avait des traces archéologiques (poteries, sculptures) dites “normales” et d'autres avec des symboles* mystérieux mais, je n'ai malheureusement trouvé aucune photo de ces objets sur le net.»

13 Banquise : il n’y a là aucune exagération puisque au pléistocène la banquise atlantique descendait jusqu’au 43° de latitude ! Le régime des courants transocéaniques était donc différent et notre Gulf- Stream, tel que nous le connaissons aujourd’hui, n’existait pas… pas plus que la Mer du Nord !

14 Baltique : on y retrouve la racine Val/ Bal “cétacé, baleine” ce qui est détaillé dans notre article traitant du Narval*, § “chefferies” du Maglemose…

15 Hypothèse fort intéressante qui est, pour l’essentiel, celle du choc du “planétoïde de Charleston” qui, après son explosion, à parsemé la région d’une multitude d’impacts parfaitement visibles sur les photos aériennes : cf. notre article r.t “Déluges* # a”. La moquerie sur une “datation, trop précise ? basée sur le calendrier maya”, considérée comme risible par les “savants-je-sais-tout européo-centristes” n’est qu’un ridicule épiphénomène auquel nous – à R&T – n’accordons aucune importance ! Mais il est vrai que ces moqueries ont bloqué les recherches plus approfondies sur ce sujet : n’était-ce pas là l’objet essentierl de ces critiques ? Sont-ce encore des savants, ne se sont-ils pas discrédités ?

16 Ce mot catastrophe appartient aussi à la théorie musicale grecque : c'est le "retour au point de repos et à l'équilibre axial d'une corde de lyre après qu'elle eut vibré". Ainsi, après le choc intersidéral, après le grand "pan", la Terre oscilla probablement et mit du temps à retrouver un équilibre, comme une corde qui s'arrête de vibrer : c'est “l'oscillation décrémentielle”…

17 Collision : La ceinture d’astéroïdes de 1 à 1.000 kM de diamètre se trouve entre Mars et Jupiter. Selon le document N° 7.480 du Conseil de l’Europe du 8 janvier 1996 : « On estime actuellement à 2.000 le nombre de comètes et d’astéroïdes de plus d’un kilomètre de large qui traversent l’orbite de la Terre (…) Bien que la probabilité à court terme d’une collision présentant le plus haut niveau de risque soit faible, les conséquences probables en seraient catastrophiques et menaceraient la survie même de l’humanité. »

18 Astéroïde : Selon le professeur Chapman, ces astéroïdes sont susceptibles, à terme, d’entrer en collision (à 70.000 kMh) avec la Terre. La catastrophe ferait un trou d’un diamètre équivalent à la ville de Washington et enverrait dans la stratosphère des débris qui plongeraient notre planète dans l’obscurité pour de forts nombreux mois. On estime qu’un astéroïde de 1 à 2 km provoquerait une explosion équivalente à tout l’arsenal nucléaire : toute vie sur terre serait en danger de disparaître…

19 Bays : Màj cf. aussi revue « Kadath no 75 : cahier new grange / la préhistoire des andes revue et corrigée / New grange, entre archéologie et astronomie / traditions d'irlande et ethnoastronomie / les anges exterminateurs de sodome et gomorrhe / les "bays" de la caroline, preuve de l'atlantide ? / Atlantide des mégalithes. » Site < contrepoint.com >, vente / <contact@archi-med.com>…

20 Màj 1er juin 04 : Météorites. La terminologie acceptée dans le monde entier est claire de nos jours. On appelle météorites les corps célestes solides qui atteignent la surface terrestre, quel que soit leur poids, et météores, les phénomènes lumineux produits par ces météorites durant leur passage dans l'atmosphère. On réserve le terme de bolides (infra) pour les météores dont l'éclat dépasse celui des grosses planètes (Jupiter, Mars et Vénus). L'appellation étoile filante, qui fait partie du langage populaire, est à proscrire et n'est pas utilisée par les scientifiques. » <astrosurf.com/macombes>

21 Bolide : « Après ce choc sidéral, il y eut de quoi être sidéré et même en "tomber assis", ce que firent les Latins d’ailleurs pour qui sidere signifie "s'asseoir". Ceux qui était "assis dessous, en réserve", étaient sub-sidere, c'était donc des gens devenus tout à faits subsidiaires*. D'autres, par contre, qui avaient pu s'asseoir dessus c’est à dire sur-seoir à la catastrophe, n’étaient en fait qu’en sursis… » Euphronios Delphyné, Jeux de maux dits luviaux, courrier.

22 Le Xixulub ou Chicxulub : est aux antipodes des “traps” du Deccan en Inde qui témoignent d’un formidable épanchement volcanique. L’onde de choc aurait été focalisée en ce lieu par les réflexions sur la croûte terrestre ainsi que sur et dans le noyau en soulevant l’écorce de plus de 100 m. Mais les spécialistes se battent sur cette hypothèse de la double catastrophe : les uns soutiennent des dates différentes, d’autres y opposent la dérive des continents comme si cette autre hypothèse et ses probables “lois” était “parole d’évangile” ou, mieux, devait contredire la précédente .
Màj 1er juin 04 : « Depuis longtemps, les géologues connaissent les traps (mot néerlandais qui signifie "escaliers"), ces vastes coulées basaltiques qui recouvrent certaines parties du globe et qui sont associées aux "points chauds", c'est-à-dire à l'origine de ces coulées. Les traps du Deccan, en Inde, dont l'épaisseur totale dépasse 2.400 mètres dans leur partie occidentale, sont particulièrement impressionnants et spectaculaires, et justement ils sont contemporains de la fin du Crétacé. Les diverses coulées qui se sont succédé, et dont le volume a pu dépasser deux millions de kilomètres cubes, ce qui est tout à fait considérable, ont été datées avec précision à 65 MA (± 2 MA) et chevauchent donc très précisément la couche K/T qui indique avec précision la fin du Secondaire. Elles ont commencé avant l'impact, elles se sont terminées après l'impact. Les deux phénomènes ont été concomitants… Mais cette remarquable catastrophe volcanique a démarré avant l'impact. Les traps du Deccan ont été divisés en huit couches différentes. D'après les recherches faites dans les années 1990, des traces de l'impact auraient été repérées dans la troisième couche. » M-A Combes.

23 Tsunamis extraordinaires : Les études des oscillations dans l’eau montrent que les phénomènes de rencontre des ondes circulaires (le caillou jeté dans l’eau) avec les renvois successifs de ces ondes par les parois, produisent des crêtes : dans une cuvette, on a un effet de quadrillage avec des pic et des creux ! Nul doute donc que le renvoi du tsunami par les côtes produisent ce genre d'effets inattendus (et je subodore qu’il en est de même avec les tremblements de terre ce que semble prouver la constatation que, pour la 3ème fois, un séisme en Californie provoque une catastrophe 04 en Iran) ! C'est ce phénomène qui nous a amené à supposer que le mythème des "neuf vagues" aurait pû avoir, dans ce milieu très fermé de la Mer du Nord, une réalité (cf. notre art. Déluges* # b) !

24 Actuel : Nous avons dû remettre en ordre des propositions mélangées à la traduction.

25 Velikowsky dont les travaux sont évidemment dépassés à notre époque, c’est le lot comment dans ces disciplines ! Mais aussi parce que sa “comète Vénus” a beaucoup fait rire les professionnels de l’astronomie. Avoir une idée, passe encore, mais pour en faire une hypothèse il faut l’étoffer de nombreux arguments scientifiquement démontrès et il ne le pouvait pour cause d’impossibilité. Cela a nuit définitivement au reste de son travail…

26 Basculement : Toutes les planètes du système solaire ont leur axe perpendiculaire aux rayons solaires et, de ce fait, ne connaissent pas de saisons, sauf une : notre Terre !

27 Déplacement du Pôle : une hypothèse analogue a été reprise pour expliquer la disparition des dinosaures à la suite de la collision avec la météorite géante du Yucatán il y a 65.000 ans (SVM n° 961, 1987) !

28 Volcans : rappelons que le Puy de Dôme est daté de 11.000 ans (9.000 AEC), cela correspond donc très bien !

29 Rift : quoique nos ancêtres septentrionaux n'aient pu connaître le fond de l'Atlantique, ils nous ont parlé de la terrible Niddhog/ Wurm avec une étonnante préscience : c’est évidemment là que se trouve le Tartare des Grecs (cf. fin # 3), et justement là que nous avons découvert depuis peu le Rift Atlantique qui est couronné au Nord par la volcanique Islande avec son Grimsvotn et, plus près du pôle, par le volcan Jan Mayen, lui aussi insulaire…

30 Gulf Stream : identifiable avec le mythique " Fleuve Océan” (Giuseppe Vinci)

31 Inondation : les récents travaux du commandant Cousteau dans les grottes sous-marines des Bermudes montrent des stalactites immergées par 135 mètres et inclinées de 30 degrés, alors qu’elles n’ont pu se constituer qu’à l’air libre, pendant des centaines de milliers d’années, et à la verticale du lieu considéré !…

32 Plateau continental : était-ce la “Vieille Patrie” Ur Heimat des Pré Indo-Européens avant la Grande Dispersion, le Mo Uru ou mythique “continent” Mû ? C’est l’hypothèse la plus plausible, celle en tout cas que défendait le Hollandais Herman Wirth.

33 Baltes : puis, jusqu’en 6.000 AEC la Baltique est en eau douce (période d’Ancylus). De 6.000 à 4.500 AEC (période de Litorina) la Baltique se remplit d’eau salée, le cerf (!) et l’élan, ces “pauvres Hères”, peuplent le Grand Marais Maglemose pour le plus grand bonheur de nos ancêtres chasseurs qui colonisent ces territoires libérés des glaces et, bientôt, ce Grand Cerf deviendra leur totem du Grand Sage “à l’intelligence ramifiée”…

34 1500 AEC approximativement… et peut être au même moment que l’explosion du Grimsvotn du XIIIème siècle AEC et, ou, de celle de Théra. Cf. infra : la Grande Submersion, Déluges # 2 !

35 Gondwana : mais peut être s’agissait-il du plateau continental inondé depuis, entre le Nord de l’Australie et la Nouvelle Guinée ! Si ce n’est… d’une simple élucubration… blavatskienne.

36 Fimbulvetr :  « ces "hivers ininterrompus" rappellent les étés froids qui furent causés par de grandes éruptions volcaniques, y compris à des époques récentes (comme Tambora en 1815) ; les régions arctiques, bien sûr, sont particulièrement sujettes aux effets induits par de tels phénomènes. » Felipe Vinci, Omere nel Baltico.

37 Testament : « ce mot est dérivé d’une mauvaise traduction en latin d’un terme grec signifiant “alliance”. » Daniel Boorstine, Les Découvreurs (USA 1988), Lafont 1995.

38 Climat : le mot grec klima signifie d’ailleurs “inclinaison” (cf. notre art. Astronomie*)…

39 Dirghâ Tamisrâh : la Longue Obscurité, le Temps des Cent Hivers satam Himân

40 Volcaniques : par exemple, dans l’Eiffel (D), le lac de Lach (Loch “trou”) se trouve dans le reste du cratère d’un volcan de cendres qui a explosé à trois reprises à cette époque et dont les cendres furent emportées jusqu’aux portes de l’actuelle ville de Berlin !
  Rappelons que le voile atmosphérique dû à l’éruption du Pinatubo en 1991 a entraîné une baisse du rayonnement solaire en Suisse de 21 % pendant l’hiver 1991 et de 17 % dans l’hiver 1992 ; la centrale solaire de Mojave en Californie a enregistrée 30% de pertes en 1991…
Màj 15 juin 05 proposé par notre adhérent coupi@ :  Le volcanisme de l'Eifel me semble méconnu, c'est pourtant le plus jeune d'Europe centrale. Massif de l'Ouest de l'Allemagne s étendant sur près de 1200 km2, il ne contient pas moins de 350 cônes volcaniques.
   Il résulte des dernières recherches scientifiques qu'une gigantesque éruption s'est produite il y a 10.000 ans à Laach (estimation 5 à 6 km3 de magma), comparable à celle du Pinatubo aux Philippines en 1991, rejetant prés de 5.000 tonnes de dioxyde de soufre par jour et produisant une colonne éruptive de 40 km de hauteur, de quoi produire un véritable Fimbulvetr. La vallée du Rhin en fut bouchée, formant un immense lac et obligeant le fleuve à trouver un autre cours. Aujourd'hui le cratére est occupé par un lac de 3,33 km2 de superficie et de 51m de profondeur: c'est le lac de Laach où Laacher See. Une photo, prise dans la carrière de Wingertsberg prés de Laach, montre l'épaisseur des coulées de lave (comparer par rapport aux personnes en bas). La bande blanche correspond aux pierres ponces. Cela en dit plus que n'importe quel texte pour imaginer l'ampleur de cette éruption.
          Des traces de cette éruption ont été trouvées jusqu'en Scandinavie.

41 Màj 1er juin 04 : « Les pluies acides seraient une conséquence quasi obligée d'un hiver d'impact et compliqueraient sérieusement la survie post-impact des rescapés du cataclysme lui-même pour les humains (maladies respiratoires, affections oculaires notamment). » M-A Combes.

42 Gaïa : « Ce sur quoi les dieux, les hommes et les bêtes peuvent marcher avec assurance. Elle est le plancher du monde. » J.-P. Vernant, L’Univers, les Dieux, les Hommes, Seuil, 1999.

43 Graham Hancock cite l’année 2030 comme l’époque où les pôles magnétiques de la terre sont censés s’inverser à nouveau mais cela ne signifie par qu’il y aura des catastrophes puisque la précédente inversion en 627 EC n’en connut aucune… Reste évidemment les collisions et les séismes qui ne dépendent pas de ce phénomène que rien n’indique comme étant cyclique mais qui le provoque…

44 Les mammouths dont la race s’est éteinte vers 7.500 AEC selon la datation au radiocarbone 14, y sont toujours pris dans les glaces du permafrost : on en a retrouvé plus de 40.000 et le troupeau originel a été estimé à plus de 100.000. Lorsqu’on en retrouve un, il est encore comestible pour les chiens mongols : ce seul détail montre qu’il s’est agit d’une congélation subite. Leur forêt nourricière s’est déplacée d’un coup de 3.500 km vers le Sud actuel, près du Lac Baïkal, ce qui est l’équivalent du déplacement du Pôle. L’explication en est-elle le déplacement du Pôle, ou les poussières de la haute atmosphère ?

45 Inouï : notre ami Euphronios Delphyné – qui est d’autant plus “farceur” dans nos repas qu’il se doit d’être sérieux à l’Université – nous dit un jour que « En ce temps là, il y faisait un froid “Inouït”! »

46 Ancêtres ce que leurs lointaines et grasses descendantes domestiquées feront aussi au Capitole…

47 Les Aïnous qui peuplèrent les Îles Sakhaline, et donc le Nord du Japon, parlaient une langue du groupe Ghilyak, un peuple qui existe encore et est éleveur nomade sur le haut plateau tibétain !…
Au Japon : Izanagi, un des dieux fondateurs des shintôïstes, dut descendre aux "enfers" pour y chercher sa femme morte (cf. le mythe d’Orphée)n. Mais, souillé par ce séjour, il dut se purifier dans une rivière, puis dans la mer. C'est en lavant son oeil gauche qu'il créa la déesse soleil Amaterasu. En lavant son oeil droit, ce fut le dieu Lune. Et, de même, la tempête Susanoo sortit de son nez. Par la suite Amaterasu et son frère Susanoo procréèrent huit divinités qui sont les ancêtres des grands genos des Japonais. Mais Amaterasu se fâcha avec son irascible frère : elle se cacha alors dans une caverne et refusa d'en sortir. Le Monde sans lumière ni chaleur devint invivable : les huit millions (!) de Kamis, "les esprits divins", se réunirent alors pour tenter de la faire sortir : il firent d'abord chanter des coqs, mais en vain ; ensuite ils murmurèrent des oraisons et suspendirent devant l'entrée de la grotte des offrandes : une épée, des bijoux, et le premier miroir (qui, il faut le remarquer est octogonal, cf. § Muhlespiele in art. Astrologie* Nordique)n. Mais l'intervention qui fut décisive, fut celle de la déesse de l'Allégresse : montant sur un fût, elle dansa une danse "obscène". Entendant les rires des huit millions de Kamis, Amaterasu tendit l'oreille, sortit la tête, et ses yeux tombèrent sur le miroir réfléchissant son visage. Les Kamis tendirent alors un cordon sacré* (cf. art. Lien*)n derrière elle afin de l'empêcher de revenir dans la caverne. Avec la réapparition d'Amaterasu, le ciel et la terre retrouvèrent la lumière… » D'après le Kojiki de 712 E.C., Christinger, Le grand livre du Soleil, Denoël, 1973. °C'est ce même miroir qui figure dans le caducée* !

48 La "Terre Gaste" : « la "terre désolée" de la légende arthurienne, pourrait aussi être comparée au passage homérique parlant de la "demeure corrompue” (domon euroenta) de Hadès. » Felipe Vinci, in Omere nel Baltico, #2 Eden…

49 Bouleau : “l’arbre de purification”. Il est curieux de constater que la décoction d'écorce de bouleau est un dépuratif. De même, une branche de bouleau coupée pendant la végétation "pleure" très longtemps et sa sève peut être recueillie dans un verre. Son symbole* runique* est Birka, astérisme qui représente… "les seins de Freyja" ou ceux de la celtique Danu, sa parente !

50 Tritons : les pêcheurs à l’anorak et au bonnet (phrygien) en peau de phoque (cf. notre art. Narval*, mais aussi les Fir Bolg “les hommes au sac de cuir” Irlandais, et les… Belges).

51 Chants : Heureux pays que la Lettonie qui pour 1.350.000 habitants de souche possède 1.200.000 chants folkloriques archivés : pour la plus grande part, ils sont consacrés à la Soleil ! Quel trésor païen à décrypter, proche des Veda – et sans doute aussi bien proche du gaulois ancien nous disent eux-mêmes les… Lituaniens.

52 Déversé : Ce faisant, la chute a attaqué la roche et il a fini par se former des chutes géantes qui reculant le long du thalweg ont, après 9.000 ans, crée les “Chutes du Niagara”. Précisons même qu’elles reculent encore de 1 kM par an !…

53 Qui sait si "l'effet de serre industriel" – sur lequel les savants sont divisés – ne nous protège pas (provisoirement) d'un sournoise et progressive – et cyclique – re-glaciation…

54 Dan : ce sont leurs enfants des dunes, Doriens transfuges de la Grande Transgression Marine (cf. infra) et bien plus tard les Goths/ Rouss varègues qui emportèrent ces toponymes au Sud Est…

55 If sacré et, probablement aussi, ce Pal des Ébro/ Éburons de Palestine : “Jahveh” soi même…

56 Constellation : quitte a en conserver le nom “arabisé” selon l’habitude médiévale qui suivit les croisades (cf. § arabomanie in art. Blasons*, laquelle semble re-venir en force…)

57 Au-dessus : Si l'on admet que les océans sont remontés de Å135 m., le massif scandinave serait donc très lentement remonté (viscosité) de plus de 300 m depuis sa déglaciation !…

58 Crimée : en letton grim (krim) = “sinistre”. Ce qui veut dire “s’enfoncer dans l'eau, submergé”…

59 Màj du 4 janv. 04, Nom repris sur le site de même nom <assiette.noah.free.fr> qui écrtit :           « L'assiette de Noah : C'est le 16 juillet 1985 qu'une mission de recherche bulgaro-russe met à jour l'assiette de Noah grâce à leur véhicule sous-marin, l'Argus. Le chef d'expédition est le Dr Dimitrov. Datée de 9000 ans, elle fait 35 cm de diamètre, 9 cm de hauteur et pèse 5 kg. Elle fut repérée à une profondeur de 93 mètres. Sa symétrie est quasiment parfaite. »

60 Ces Éburons sont un rameau local des Celtes* (ceux de l’If) qui laissèrent certains des leurs chez les Philistins dans leur Palestine (aux portes de la Judée), et d’autres en Lybie, puis en Berbérie* en allant ultérieurement peupler la vallée de l'Èbre sous le nom de Celtibères, puis l’Ibernie/ Irlande.

61 Mais cette “lapidation rituelle” peut aussi venir d’un rite* des survivants du mythe*, voire la chute d’aérolithes relatée par Josué : « quand la fragmentation d'un corps étranger a lieu dans l'atmosphère, on assiste à une pluie de météorites, spectacle inoubliable qui a marqué les témoins privilégiés de toutes les époques. Plusieurs pluies météoritiques ont été notées dans les chroniques de toutes les régions du monde. La plus ancienne connue, celle qui date de l'époque de Josué (vers –1165) a été notée dans la Bible… » <astrosurf.com/macombes>

62 Màj 1er Juin 04 : Apocalypse dont le sens est “révélation, dévoilement, mise à nu” (Michel Fournier), ce qui devrait suffisemment nous pousser à chercher ce que pouvait être cette révélation en matière de catastrophe ou de cataclysme. En fait, cette révélation ne fut pas rédigée par Jean… l’évangéliste mais par un évêque Jean de Byzance qui la transmit probablement en la “cryptant”. Elle fut interprétée par la suite essentiellement d’une manière spirituelle chrétienne puisqu’ils ne pouvait plus concevoir cette “connaissance” météoritique reçue des anciens que comme une “punition divine” :
   « Césaire d'Arles, L'Apocalypse (Desclée de Brouwer, 1989 ; traduction par J. Courreau). Ce livre est publié dans la collection "les Pères dans la foi ", c'est dire qu'il présente l'Apocalypse en temps que livre religieux. Césaire d'Arles a vécu autour de l'an 500 de notre ère. On voit avec cet auteur que la notion d'apocalypse, nom commun, relative à la prédiction d'événements de nature physique, telle qu'elle était admise au temps des Grecs, a totalement évolué et changé de nature pour devenir l'Apocalypse, nom propre, événement religieux annoncé, événement unique. Après Saint Jean, l'Apocalypse est devenu un livre symbolique et dogmatique étudié par tous les théologiens. » Combes

63 Le mot désastre est intéressant : du latin disaster “mauvais astre” –> astéroïde ? comète ?