1 *N. B. : Les mots avec astérisques* sont des titres d’articles consultables dans le “Livre CD” de l’association et correspondent à un deuxième volume de notre étude sur Les Origines de l’Arbre de Mai comme étant issu d’une Atlantide boréenne pré cataclysmique du XIIIème s. AEC.

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2 Péléia : « la Pléiade ; Alcyoné fut ainsi nommée parce que les alcyons passent pour faire leurs nids et couver leurs œufs sur la mer. » Reznikov (cf. § Grue, in art. Bestiaire*).

3 Musique : les Étrusques l’utilisaient pour chasser : « La flûte les attire dans les rets. » Elien, Histoire des animaux, IIIème siècle.

4 Signification rituelle : qu’on pense à la précision de la gestuelle siamoise et à son rapport à la religion. Mais, nous verrons par ailleurs (in art. Magie*) que, sur le plan conceptuel, la fidélité à la lettre (casta) peut entraîner une infidélité à l’esprit du rite (sacra)…

5 Contrefaçon : comme nous sommes loin de notre monde de négoce, de royalties et de douteux lawyers

6 Conducteur : pompaïos en grec, d’où la “pompe”, la conduite et, par extension, le “cortège”.

7 Choros : mais l’étymologie proposée par Platon serait fausse. D’autre part, le mot coros évoque plus que notre chœur moderne : c’est du chant, de la poésie et de la danse : un “art total” (Wagner)…

8 Gymnastique : quoique les hommes la pratiquaient nus – gymnos signifiant “nu” – s’il faut en croire le décor de la céramique antique, les femmes pratiquaient la danse voilées. “Danse gymnastique” signifie donc “danse nue”, ce qui nous ramène à l’opinion de Platon, cf. infra…

9 Croisée : ou en “Bourréio Crousada” en Auvergne, La Crousado, ou la Bourrée des Foulards…

10 Membres divers : ne s’agirait-il pas du “pied d’Atlanta” (l’Atlante!) qui manque sur la gravure du miroir étrusque d’Athrpa trouvé à Pérouse et qui date de la fin du IVe siècle AEC : cette gravure figure la fête annuelle qui avait lieu dans le Temple de Northra au sanctuaire de Voltumna (Fortune), une cérémonie au cours de laquelle on plantait le “clou du destin*”. Méliaph était parti en Étolie chasser le Sanglier de Calydon" (c'est dire qu’il était parti lutter contre – ou qu’il était rescapé de – la Grande Submersion atlante* boréenne – Calydon => Calédonie/ Écosse – et la Mythologie précise que "le sanglier dévastateur avait été blessé mortellement par Atlanta, la cinquième personne sur le miroir, celle qui tient encore sa lance mais à qui il manque curieusement un pied… un pied que les Bacchantes – pas anthropophages du tout ! promèneront commémorativement en grande pompe, en dansant rituellement !…

11 Phallus : on verra l’idée de “phallus moineau” comme oiseau psychopompe à l’article Sexualité* et, lorsqu’il est question des Maglemosiens, à l’article Narval*. De là, sans doute, l’idée qu’un corps doit être intègre pour l’inhumation, idée présente à plusieurs reprises dans les mythologies grecques et nordiques. Importance aussi des bandelettes, dont l’étole des prêtres catholiques est probablement une survivance. Mais les Ases* s’en moquaient bien, eux qui pratiquaient l’incinération (pour ce qui est de l’immortalité, ils faisaient confiance à leurs gènes et à la fidélité culturelle de leurs enfants ! )

12 Derviches tourneurs : ces danses, issues des danses astrologiques de leurs ancêtres I-E, les Parsis, comportent sept tourneurs blancs, un noir (le Nord), et un grand maître ordonnateur (l’Axe) qui reproduisent ainsi l’étoile à huit rais ou Escarboucle (cf. Blasons*)/ Muhlespiele (cf. Astro I).

13 Pans : Sur cette gravure ancienne, nous remarquerons que les meneurs de jeu/ officiants (cf. Prêtres*) de cette danse dionysiaque mêlant pans et pannettes, sont caractérisés chacun par leur lituus* posé au sol

14 Bacchants : « Les fidèles du Dieu sont appelés Bacchoï (Bacchants) en Grèce et bakhtas (participants) dans l’Inde. Pour eux, c’est dans l’ivresse de l’amour et de l’extase que réside la véritable sagesse, que devient possible la communion avec la nature et les dieux, alors que les calculs et les frustrations qu’imposent les religions de la cité isolent le monde des hommes du reste de la création. Pour Euripide, le message de Dionysos est un appel à la joie dans la communion avec la nature et la simplicité du cœurs. Ceux qui prétendent affirmer la supériorité de la raison et se refusent à écouter cet appel seront confondus. Le dieu leur inspire la folie par laquelle ils se détruisent eux - même. » Alain Daniélou.

15 Grande Santé : l’expression est évidemment de Frédéric Nietzsche.

16 Rites solaires ; « le motif de la spirale est un symbole du Soleil. » Max Müller. Mais d’autres auteurs nous disent qu’elle figure le Temps… et d’autres encore, le Cosmos… Comme si c’était contradictoire !

17 Défunts : Enée doit faire un choix entre deux routes : celle de droite mène à l’Élysée et celle de gauche au Tartare ! ( à droite dans l’Atlantique, vers Hélixioïa (cf. art. Atlantide*) ?

18 Rite de fécondité : cette “figure” avait été relancée peu après la Mobilisation de 39 dans une danse bourgeoise encore un peu scandaleuse pour l’époque, le Lambeth Walk

19 Draguer : une étymologie possible du terme populaire “draguer, chasser la biche” et ne faisant pas référence au yougoslave draga signifiant “chérie” (quoique…) dans laquelle on retrouve l’idée de “tourner autour, conter fleurette, flirter” pourrait venir d’un parent du sanscrit Draogha “tourner autour” : les expressions populaires sont souvent plus surprenantes de fidélité que de vulgarité, encore que cette racine de “draguer” n’ait pas le sens péjoratif, snob, actuel ! °(ne l’oublions pas : snob vient de Sin nobilitate “sans noblesse” !)

20 Bacchuber, Bakuber ou Ba’cubert. Étymologie : Bal cubert (couvert), vols rituels, présence du Mai symbolisant la roue solaire (cf. proximité du Mont Bégo) retenu par des guirlandes de fleurs attachées aux quatre coins du bal et figurant ainsi la “couverture” (firmament) qui justifie l’étymologie (M. Mourgue) car Ouranos “couvrit” Gaïa !

21 Sarrazins : il faut admettre que les nombreuses razzias et rapts de femmes blanches sur les côtes provençales et languedociennes ne pouvaient que relancer cette opposition datant des Croisades. Cependant le fond mythique est bien celui que nous indiquons : Forces lumineuses contre Noirauds rétrogrades : « Au Moyen-Âge, la figure noircie du danseur fit croire que la Moresque figurait la lutte contre les Sarrazins. Ce thème fut très fréquent en Espagne où la Moresque se transforma en petits drames… » M. Mourgues.

22 D'où une étymologie savante de l'expression (très) populaire "sauter une Nanna" ?

23 Farandole, 2 étymologies : Germanique Faran “voyage, baladin”, ital. farandula… Et, pour Gontard : barandere, brandere ou “danse des brandons” exécutée primitivement autour du feu pris comme support du soleil, de la lumière. Autrefois exécutée en tenant une omelette (symbole du soleil doré)n au dessus de sa tête”. (M. Mourgues, lDP, f° 198).

24 Minotaure dont le nom était Astérios ou Astérion ! Avec “la fuite à Délos”, nous trouvons là des réminiscences du Déluge* boréen, cf. aussi art. Atlantide*…

25 Aphrodite : une Océanide née de l’écume de la mer c’est à dire (du pays) de l’Ambre*.

26 Origine : je ferai comme l’auteur, mais pour le corriger avec ses arguments : il s’agit là d’iconotropie appliquée à un rite* festif qui remémore et symbolise un mythe*. C’est donc là un résultat et non l’origine.

27 La perdrix d’Héra du Marais s’appelle perdix en grec.

28 Kolos : ce mot est évidemment parent de coroles, caroles…

29 Masques : ainsi le mot masc en est-il venu à signifier “sorcier*” en occitan !

30 « Rythmes et rimes sont, selon la rumeur, les deux mamelles qui alimentèrent les géants nordiques Hrym, les Thurses du givre ! » Euphronios Delphyné…