1 Trundholm : « Ce char solaire est la représentation en miniature d’un char cultuel que l’on promenait sur un parcours solaire-magique, comme nous l’indiquent les cultes de Nerthus en Allemagne du Nord et de Freyr en Suède. Dans le Rig-Véda c’est le cheval Étaza qui tire la roue solaire dans le ciel. Le parcours rituel était une représentation symbolique du couple sacré* Soleil-Terre, où la différence entre les deux astres est exprimée en termes sexués. Le soleil ou le fils du soleil donne sa semence sous la forme de rayons solaires et féconde la terre qui, elle, reçoit cette semence et donne naissance à une vie nouvelle. » Björn Ulbricht, Im Tanze des Elemente. Kult und Ritus* des heidnischen Gemeinschaft, < Arun-verlag.de >

2 N. B. : Les mots avec astérisques* sont des titres d’articles consultables aussi dans le Livre CD de l’association et ils correspondent au deuxième volume de notre étude sur Les Origines de l’Arbre de Mai comme étant issu d’une Atlantide boréenne pré cataclysmique du XIIIème s. AEC.
    Les articles de ce 2° tome “Les Sources” sont chargés progressivement sur le site et ils sont mis à jour en fonction de vos interventions par courriel (e.mail)…

Visitez nous donc régulièrement puisque :
“Il y a toujours du nouveau” sur < racines.traditions.free.fr > !

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« Cheval blanc, toi que l’on voit galoper comme un fou,
Dans les premiers rayons et la rosée d’aurore,
Annonces-tu le Jour et le Temps des Amours,
En ces beaux jours de Mai où les Dieux règnent encore ? »
Björg Svasud…

4 Gullinbursti “soies d’or” : ce mythe présente des ressemblances avec le “miracle de Guingamor, la Chasse au Blanc Porc” chez les Celtes*, ce qui n’étonnera certes pas un comparatiste…

5 Delphis était en fait la grue* des Marais, qui les avait guidé lors de “la grande migration” (cf. notre art. sur les Déluges*). Ce “dauphin” pourrait aussi figurer le navire qui les amena de leur Terre Sacrée ravagée par le raz de marée boréen (ce genre de confusion existe dans le mythe* biblique de Jonas… )

6 forme christianisée : ce qui explique aussi l’étymologie postérieure faisant venir carême de “quarantième” : en somme, avec cette nouvelle religion, “à chacun son étymologie, à chacun sa langue”, on est en plein Babel (*bha-bla)…

7 La charrette très décorée est restée un motif folklorique très prégnant en Sicile sans que les habitants christianisés sachent exactement pourquoi : il fait actuellement partie de la pompe (“cortège”) religieuse catholique. (Et, nos amis siciliens de Grenoble conservent souvent une miniature de charrette très décorée sur leur buffet…)

8 Naharvales : Sans doute aurez-vous remarqué qu’il y a une curieuse parenté phonique entre Narval* et Naharval… (cf. chefferies de pêcheurs maglemosiens in art. Narval*)

9 Nerthus : les Narthes correspondent au grec Nerteroi : “les Titans sont les dieux d’en-bas”. En ombrien, on a nertru et en osque nertra-k, “à gauche” et “de gauche”, c’est à dire le Nord, quand on s’oriente (à l’Est). En sanskrit on a naraka “l’enfer” (…diluvien?).

10 Paix : Nous repenserons alors à la traîtrise de Charlemagne, “le Tueur de Saxons” !

11 Esclaves : une traduction par “hiérodule” serait plus convenable !

12 Correspondant : de nos jours on en voit quotidiennement qui nous “farcissent” de bons et “humanistes” sentiments pleins de “Droits de l’homme” sans Devoirs (comment cela peut-il être possible ?), servant de paravents aux conquêtes économiques ou à la division interne du ou des peuples du concurrent : “Diviser pour régner !”…

13 Sortie du port : conservée de même sous le nom de "bénédiction de la mer" ou "des pêcheurs". À part la Crucifixion (et encore…, cf. Astro* 1) tout semble être resté païen dans notre ancien catholicisme européen (mais, cela ne saurait durer : « voici “le Temps des Idéologies ! »)