1 N. B. : Les mots avec astérisques* sont des titres d’articles consultables aussi dans le Livre CD de l’association et ils correspondent au deuxième volume de notre étude sur Les Origines de l’Arbre de Mai comme étant issu d’une Atlantide boréenne pré cataclysmique du XIIIème s. AEC.
    Les articles de ce 2° tome “Les Sources” sont chargés progressivement sur le site et ils sont mis à jour en fonction de vos interventions par courriel (e.mail) @…

Visitez nous donc régulièrement puisque :
“Il y a toujours du nouveau” sur < racines.traditions.free.fr > !

2 Danube : rappelons à nos concitoyens qui sont parait-il fâchés avec la géographie, que les sources du Danube ne sont qu’à quarante kilomètres de Colmar, en pleine Forêt Noire.
  Quand à Keltos, le personnage de la Mythologie, il était le fils d’Héraklès et de Keltiné, une fille de Bretannos. C’est en revenant des Hespérides (du Couchant/ Occident) et conduisant les troupeaux de Géryon que le héros séduisit Keltiné.
  Les Grecs considéraient Keltos comme le Héros éponyme des Keltoï (comme Héraklès était celui des Héraclides ou Doriens qui “tournèrent en rond” avant de se fixer dans la Méditerranée orientale).

3 *y-a : en grec, signifie : “il pleut”!… Youpie !

4 Racisme : et pourtant nous pouvons lire cette définition dans le Dictionnaire Larousse : « Théorie qui tend à préserver l’unité de la race dans une nation. » 76° édition, 1950!

5 Les archéologues trouvent des crânes aussi et s’ils font des mesures craniologiques, s’il y a des comparaisons, des rapprochements, il n’y a pas de publications de masse : l’archéo-anthropologie contemporaine risquerait-elle, elle aussi, d’être taxée de raciste. Triste époque qui nous empêche de nous figurer la tête qu’avaient Nos propres ancêtres. Mais la “génétique” va probablement donner un coup de pied dans cette fourmilière : belles empoignades en perspectives…

6 Cet Âge du Fer est une convention ! Il est question du fer dans l’Odyssée. Et l’on a pu lire d’autre part : « les Celtes ont apporté le fer chez les Romains et les Grecs qui n’utilisaient que le bronze. »

7 Gaulois : « Nos ancêtres n’avaient aucune idée de ce que pouvait être l’identité nationale puisqu’il n’y avait pas de nation, abstraction moderne issue du Moyen Âge et de la Révolution française… (Chaque Teuta ou Clan) se voyait comme le centre du monde d’où la multiplicité de (noms contenant la racine) médio (…) [Il en était de mêmer en Grèce sauf fédérations défensives provisoires].
« Leur territoire portait parfois de manière globale le nom de Litauia “l’étendue” mais, comme l’idée d’empire leur était étrangère, il n’y avait pas de différence entre le territoire occupé par les Celtes et celui où l’on parlait la langue celtique (…) Tout au plus se reconnaissaient-ils une certaine parenté (historique, culturelle, linguistique, religieuse*) avec d’autres Celtes dans la mesure où ceux-ci étaient issus de la même vague d’invasion indo-européenne*, qu’ils avaient à peu près les mêmes coutumes et les mêmes croyances païennes* et polythéistes. Mais c’est tout.
Nos ancêtres ne s’appelaient pas Gaulois entre eux mais, conscients d’être tous des Celtes, ils se différentiaient par le nom de leur Teuta/ Tribu, de leur peuple. Ce sont les “ennemis” puis les “occupants” romains qui nous nommèrent ainsi… « Devant ces farouches combattants qui ne craignaient pas la mort, les Romains ne pouvaient qu’être admiratifs au point de les surnommer les Galli, ce qui signifie “les furieux”, (pluriel de gallus)… d’où l’inanité du rapprochement entre deux mots latins homonymes signifiant l’un “Gaulois” et l’autre “coq”, et expliquant que le coq “gaulois” soit devenu l’emblème de la France » Uiriduocamulos, Message 55.
  Les cantons contenaient douze villas ou villages, douze cantonsd formant une tribu. De nos jours, le mot occitan canton (cantoun) signifie “quartier”, mais aussi… “parking”.

8 Neuchâtel : Contrairement à ce que certains ministres vagabonds pourrait laisser supposer, la Culture s’enracine toujours très profondément sur un même lieu : ici à Neuchâtel, on vient de découvrir cinq mégalithes datés de 7.000 ans, sculptés 1.000 à 2.000 ans plus tard ! Il en est de même entre le Magdalénien et l’Écriture de Glozel faisant suite aux grottes peintes !

9 Espagne : Voulez-vous lire maintenant un article vu le 23 fév. 04 sur <celtiberia.net> : Pays celtes ou atlantiques, traduit par note ami slan’a gaël@ ? Cliquez alors sur [

10 La hache à lancer est l’attribut héraldique de nos sapeurs-pompiers…

11 Wals : cf. aussi les divers sens de Wal in art. Narval*.

12 Impérialisme : on voit que les Américains (ou leurs financiers) ont eu de bons maîtres !…

13 Maj / courriel Slan@ : « Bro “Pays” en Breton ! Mais aussi PAYS en ancien égyptien bor ! Comme Tabor “le pays haut” soit, la montagne ! Donc, ne pas chercher au loin ce qui ne t’as jamais quitté : bor e hall le pays des Halles ou la Gande Gaulle !  »   ;o)

14 Ys nous fait penser à "isser", surgir –› Atlantis ! Dans le mythe d’Ys, la reine des sirènes s’appelait Ahès. C’est son nom déformé qui se retrouve dans celui des monts d’Arrée, les seuls sommets d’Armorique à avoir échappé à la Grande Transgression Marine. Ce nom rappelle bien sûr Aéa, Aéetès, « l’île Atlantide* des aèdes Arions chantant des aria… » E-D.

15 Légendes païennes : nous préférerions écrire, des mythes* païens !

16 Irande : si vous voulez lire maintenant le supplément “L’histoire légendaire de l’Irlande” de Julius Evola (transmis par <fdes1@hotmail.com >) Cliquez sur le [mot.pdf] en bleu dans le texte…

17 Mise à jour du 15 juin. 04 proposée par fds1@ : « Les Thuatha dé Danann sont les pères fondateurs de la civilisation celtique, les fameux rois à tête de dragon. On les décrit comme des êtres de haute stature, la peau légèrement bleutée ˆ sans doute pour évoquer leur patrie d'origine, le pur paysage du pôle, avec ses glaces, ses brouillards et sa lumière. » Jean-Paul Bourre, Secrets et magie de l'histoire de France, 1995.

18 Brittoniques : Peuples atlant(iqu)es du Nord (Maglemosiens, Frisons et Arhmani de la Forêt, Baltes, Gothiques du Gotland) qui associent leurs connaissances astronomiques d’observation pratique et leurs connaissances symboliques, “spirituelles”. Ces grandes structures ont peut-être subsisté dans les subdivisions relatives et assez tardives chez nous des langues d’Oc et d’Oïl, qui reproduisirent les subdivisions linguistiques du “Gaulois” proprement dit et du “Belgique”…
  Goïdels : Peuples atlant(iqu)es du Sud (Bretons, Saintons, Languedociens-Basques). « Érémon, “esprit noble”, était le premier roi mythique des Goïdels après leur arrivée en Irlande. Ce nom est apparenté à Irmin et à l’indo-iranien Aryaman. » Jean Vertemont, Dictionnaire des mythologies indo-européennes, Faits et Documents 1997.
  Départager les Brittons des Goïdels ne semble donc pas facile : soit les Goïdels venaient du Pont, soit ils en re-venaient après “la scission spirituelle de Rama en Irlande” !

19 Ébur : on ne peut donc qu’être surpris par la haine que manifestent les Ébro/ Hébreux (cf. infra) envers le sanglier Ébur de la vallée de l’Hébron, totem dun tiers (au moins) de leurs propres ancêtres.

20 Aquitaine : « Couvrant l’ensemble du bassin de la Garonne, la région que gouverne Eudes est connue des Romains sous le nom d’Aquitaine (Aquitania ou pays des eaux, en raison de ses nombreuses rivières descendant des Pyrénées). Sa population est plus proche des Basques* ou des Ibères d’Espagne que des Gaulois - ou Celtes - du nord de la Loire. Le géographe romain Strabon, contemporain d’Auguste, écrit des Aquitains qu’ils «constituent un peuple totalement à part, non seulement du fait de la langue mais aussi de l’apparence physique, et ressemblent plutôt aux Ibères qu’aux Gaulois. » Clio ? Màj 15 juin 04.

21 Monisme : « Doctrine druidique qui n’induit pas la séparation entre le corps et l’esprit, donc apposée au dualisme d’Aristote ; les Druides ne conçoivent pas cette distinction entre le Réel et l’Imaginaire. » J.-P. Persigout.

22 Holisme. Étymologie : du grec holôn, “tout”. Les mots anglais holy, saint ; hale, robuste ; whole entier ; et allemand heillig d’où Héligoland “le Pays sacré” (l’Atlantide* boréenne) dérivent tous de la même racine indo-européenne *kailo “entier, intact, de bon augure”. Il est intéressant de remarquer que le concept germanique de sacré* (cf.) est identique à celui contenu dans le terme holiste, c’est à dire l’intégrité, l’intégralité et l’unité de tout domaine, en vue d’accéder au bien-être.
Pour faire très court, disons que ce concept pose que la vie, le monde, est un tout dans sa diversité, chaque partie étant liée aux autres. Cela nous impose d’être méfiant devant les méthodes dichotomiques qui entraînent immanquablement un réductionnisme conceptuel. Ce holisme implique le droit à – et le respect de – la différence et c’est bien le contraire d’un unicisme forcément réducteur. et en fin de compte, totalitaire (cf. aussi art. Multivers*)…
On comprend mieux alors le nom de Wotan* : Alfadir, Alfödr “Tout, père de Tout”. Chez les Celtes c’est Ol, Ollérus proche du Nordique Ullr/ Ollerus, et chez les Basque Olenzaro… (cf. aussi la racine Alu in art. Sacré*). L’adjectif gaulois olios signifie “tout” et le pronom correspondant est ollos .
  Cependant, pour L. Dumont (Essai sur l’individualisme, Seuil, 1983) c’est : « une idéologie qui valorise la totalité sociale et néglige ou subordonne l’individu humain. » Ce qui me semble fort réducteur par rapport à l’énoncé précédent. C’est d’ailleurs toujours le même problème : un mot vaut toujours plus, il est toujours plus “ouvert” que le réductionnisme issu du “système” (…isme) qui prétend s’en inspirer !

23 L’harmonie est un équilibre plus ou moins fragile, sans cesse remis en cause mais sans cesse reconstruit… volontairement. Il n’y a pas d’harmonie dans un chaos de pierre ou une forêt vierge, mais elle apparaît dans la terre jardinée, aménagée. L’harmonie est un besoin de l’homme qui trouve son plaisir dans le visage de l’aimée ou d’un enfant, dans la palette de l’arc en ciel Bifrost, dans le glouglou de la fontaine Font, dans le goût du fruit Pièris et l’odeur des fleurs de pommiers… C’est pour cela qu’il “euphémise” la nature chaotique et qu’il “projette” sans cesse ses désirs d’où le “progrès” ! Sans son action permanente, la nature – et la société – retournent au chaos. D’où la sensation de malheur ressentie par les gens “bien-nés” qui, comme Balder “ne peuvent vivre dans un monde imparfait !”…