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2 Danube : rappelons à nos concitoyens qui sont parait-il fâchés avec la géographie, que les sources du Danube ne sont quà quarante kilomètres de Colmar, en pleine Forêt Noire.
Quand à Keltos, le personnage de la Mythologie, il était le fils dHéraklès et de Keltiné, une fille de Bretannos. Cest en revenant des Hespérides (du Couchant/ Occident) et conduisant les troupeaux de Géryon que le héros séduisit Keltiné.
Les Grecs considéraient Keltos comme le Héros éponyme des Keltoï (comme Héraklès était celui des Héraclides ou Doriens qui tournèrent en rond avant de se fixer dans la Méditerranée orientale).
3 *y-a : en grec, yé signifie : il pleut! Youpie !
4 Racisme : et pourtant nous pouvons lire cette définition dans le Dictionnaire Larousse : « Théorie qui tend à préserver lunité de la race dans une nation. » 76° édition, 1950!
5 Les archéologues trouvent des crânes aussi et sils font des mesures craniologiques, sil y a des comparaisons, des rapprochements, il ny a pas de publications de masse : larchéo-anthropologie contemporaine risquerait-elle, elle aussi, dêtre taxée de raciste. Triste époque qui nous empêche de nous figurer la tête quavaient Nos propres ancêtres. Mais la génétique va probablement donner un coup de pied dans cette fourmilière : belles empoignades en perspectives
6 Cet Âge du Fer est une convention ! Il est question du fer dans lOdyssée. Et lon a pu lire dautre part : « les Celtes ont apporté le fer chez les Romains et les Grecs qui nutilisaient que le bronze. »
7 Gaulois : « Nos ancêtres navaient aucune idée de ce que pouvait être lidentité nationale puisquil ny avait pas de nation, abstraction moderne issue du Moyen Âge et de la Révolution française
(Chaque Teuta ou Clan) se voyait comme le centre du monde doù la multiplicité de (noms contenant la racine) médio (
) [Il en était de mêmer en Grèce sauf fédérations défensives provisoires].
« Leur territoire portait parfois de manière globale le nom de Litauia létendue mais, comme lidée dempire leur était étrangère, il ny avait pas de différence entre le territoire occupé par les Celtes et celui où lon parlait la langue celtique (
) Tout au plus se reconnaissaient-ils une certaine parenté (historique, culturelle, linguistique, religieuse*) avec dautres Celtes dans la mesure où ceux-ci étaient issus de la même vague dinvasion indo-européenne*, quils avaient à peu près les mêmes coutumes et les mêmes croyances païennes* et polythéistes. Mais cest tout.
Nos ancêtres ne sappelaient pas Gaulois entre eux mais, conscients dêtre tous des Celtes, ils se différentiaient par le nom de leur Teuta/ Tribu, de leur peuple. Ce sont les ennemis puis les occupants romains qui nous nommèrent ainsi
« Devant ces farouches combattants qui ne craignaient pas la mort, les Romains ne pouvaient quêtre admiratifs au point de les surnommer les Galli, ce qui signifie les furieux, (pluriel de gallus)
doù linanité du rapprochement entre deux mots latins homonymes signifiant lun Gaulois et lautre coq, et expliquant que le coq gaulois soit devenu lemblème de la France » Uiriduocamulos, Message 55.
Les cantons contenaient douze villas ou villages, douze cantonsd formant une tribu. De nos jours, le mot occitan canton (cantoun) signifie quartier, mais aussi
parking.
8 Neuchâtel : Contrairement à ce que certains ministres vagabonds pourrait laisser supposer, la Culture senracine toujours très profondément sur un même lieu : ici à Neuchâtel, on vient de découvrir cinq mégalithes datés de 7.000 ans, sculptés 1.000 à 2.000 ans plus tard ! Il en est de même entre le Magdalénien et lÉcriture de Glozel faisant suite aux grottes peintes !
9 Espagne : Voulez-vous lire maintenant un article vu le 23 fév. 04 sur <celtiberia.net> : Pays celtes ou atlantiques, traduit par note ami slana gaël@ ? Cliquez alors sur [
10 La hache à lancer est lattribut héraldique de nos sapeurs-pompiers
11 Wals : cf. aussi les divers sens de Wal in art. Narval*.
12 Impérialisme : on voit que les Américains (ou leurs financiers) ont eu de bons maîtres !
13 Maj / courriel Slan@ : « Bro Pays en Breton ! Mais aussi PAYS en ancien égyptien bor ! Comme Tabor le pays haut soit, la montagne ! Donc, ne pas chercher au loin ce qui ne tas jamais quitté : bor e hall le pays des Halles ou la Gande Gaulle ! » ;o)
14 Ys nous fait penser à "isser", surgir Atlantis ! Dans le mythe dYs, la reine des sirènes sappelait Ahès. Cest son nom déformé qui se retrouve dans celui des monts dArrée, les seuls sommets dArmorique à avoir échappé à la Grande Transgression Marine. Ce nom rappelle bien sûr Aéa, Aéetès, « lîle Atlantide* des aèdes Arions chantant des aria » E-D.
15 Légendes païennes : nous préférerions écrire, des mythes* païens !
16 Irande : si vous voulez lire maintenant le supplément Lhistoire légendaire de lIrlande de Julius Evola (transmis par <fdes1@hotmail.com >) Cliquez sur le [mot.pdf] en bleu dans le texte
17 Mise à jour du 15 juin. 04 proposée par fds1@ : « Les Thuatha dé Danann sont les pères fondateurs de la civilisation celtique, les fameux rois à tête de dragon. On les décrit comme des êtres de haute stature, la peau légèrement bleutée sans doute pour évoquer leur patrie d'origine, le pur paysage du pôle, avec ses glaces, ses brouillards et sa lumière. » Jean-Paul Bourre, Secrets et magie de l'histoire de France, 1995.
18 Brittoniques : Peuples atlant(iqu)es du Nord (Maglemosiens, Frisons et Arhmani de la Forêt, Baltes, Gothiques du Gotland) qui associent leurs connaissances astronomiques dobservation pratique et leurs connaissances symboliques, spirituelles. Ces grandes structures ont peut-être subsisté dans les subdivisions relatives et assez tardives chez nous des langues dOc et dOïl, qui reproduisirent les subdivisions linguistiques du Gaulois proprement dit et du Belgique
Goïdels : Peuples atlant(iqu)es du Sud (Bretons, Saintons, Languedociens-Basques). « Érémon, esprit noble, était le premier roi mythique des Goïdels après leur arrivée en Irlande. Ce nom est apparenté à Irmin et à lindo-iranien Aryaman. » Jean Vertemont, Dictionnaire des mythologies indo-européennes, Faits et Documents 1997.
Départager les Brittons des Goïdels ne semble donc pas facile : soit les Goïdels venaient du Pont, soit ils en re-venaient après la scission spirituelle de Rama en Irlande !
19 Ébur : on ne peut donc quêtre surpris par la haine que manifestent les Ébro/ Hébreux (cf. infra) envers le sanglier Ébur de la vallée de lHébron, totem dun tiers (au moins) de leurs propres ancêtres.
20 Aquitaine : « Couvrant lensemble du bassin de la Garonne, la région que gouverne Eudes est connue des Romains sous le nom dAquitaine (Aquitania ou pays des eaux, en raison de ses nombreuses rivières descendant des Pyrénées). Sa population est plus proche des Basques* ou des Ibères dEspagne que des Gaulois - ou Celtes - du nord de la Loire. Le géographe romain Strabon, contemporain dAuguste, écrit des Aquitains quils «constituent un peuple totalement à part, non seulement du fait de la langue mais aussi de lapparence physique, et ressemblent plutôt aux Ibères quaux Gaulois. » Clio ? Màj 15 juin 04.
21 Monisme : « Doctrine druidique qui ninduit pas la séparation entre le corps et lesprit, donc apposée au dualisme dAristote ; les Druides ne conçoivent pas cette distinction entre le Réel et lImaginaire. » J.-P. Persigout.
22 Holisme. Étymologie : du grec holôn, tout. Les mots anglais holy, saint ; hale, robuste ; whole entier ; et allemand heillig doù Héligoland le Pays sacré (lAtlantide* boréenne) dérivent tous de la même racine indo-européenne *kailo entier, intact, de bon augure. Il est intéressant de remarquer que le concept germanique de sacré* (cf.) est identique à celui contenu dans le terme holiste, cest à dire lintégrité, lintégralité et lunité de tout domaine, en vue daccéder au bien-être.
Pour faire très court, disons que ce concept pose que la vie, le monde, est un tout dans sa diversité, chaque partie étant liée aux autres. Cela nous impose dêtre méfiant devant les méthodes dichotomiques qui entraînent immanquablement un réductionnisme conceptuel. Ce holisme implique le droit à et le respect de la différence et cest bien le contraire dun unicisme forcément réducteur. et en fin de compte, totalitaire (cf. aussi art. Multivers*)
On comprend mieux alors le nom de Wotan* : Alfadir, Alfödr Tout, père de Tout. Chez les Celtes cest Ol, Ollérus proche du Nordique Ullr/ Ollerus, et chez les Basque Olenzaro
(cf. aussi la racine Alu in art. Sacré*). Ladjectif gaulois olios signifie tout et le pronom correspondant est ollos .
Cependant, pour L. Dumont (Essai sur lindividualisme, Seuil, 1983) cest : « une idéologie qui valorise la totalité sociale et néglige ou subordonne lindividu humain. » Ce qui me semble fort réducteur par rapport à lénoncé précédent. Cest dailleurs toujours le même problème : un mot vaut toujours plus, il est toujours plus ouvert que le réductionnisme issu du système (
isme) qui prétend sen inspirer !
23 Lharmonie est un équilibre plus ou moins fragile, sans cesse remis en cause mais sans cesse reconstruit volontairement. Il ny a pas dharmonie dans un chaos de pierre ou une forêt vierge, mais elle apparaît dans la terre jardinée, aménagée. Lharmonie est un besoin de lhomme qui trouve son plaisir dans le visage de laimée ou dun enfant, dans la palette de larc en ciel Bifrost, dans le glouglou de la fontaine Font, dans le goût du fruit Pièris et lodeur des fleurs de pommiers Cest pour cela quil euphémise la nature chaotique et quil projette sans cesse ses désirs doù le progrès ! Sans son action permanente, la nature et la société retournent au chaos. Doù la sensation de malheur ressentie par les gens bien-nés qui, comme Balder ne peuvent vivre dans un monde imparfait !