Si lon devait en croire Éloïse Mozzani : «
les premiers récits mentionnant des morts vivants suceurs de sang appartiennent à la Chine du Vème siècle avant notre Ére » (Le livre des superstitions, Laffont Bouquins, 1995).
Or, chez les Grecs et chez les Romains ce vampire existait déjà sous forme de spectre, dEmpuse ou de Lamie et, puisque nous en trouvons aussi trace dans la littérature sanscrite, sans doute peut-on affirmer que cest un concept indo-européen* ancien et, tout simplement : celui du spectre, du re-venant1 ?
Étymologie
Précisons ici que ce mot qui vient de lallemand Vampir est, en fait, dorigne serbe et signifie tout simplement
fantôme :
Mise à jour du 5 janv. 07/@ : « Au commencement les Slaves anciens crurent aux génies "oupyrs" et "béréguinias". Les premiers, qui sont genre masculin, étaient considérés comme l'incarnation du mal. Les autres, du genre féminin, étaient l'incarnation du bien. Il est intéressant de suivre les métamorphoses du mot "oupyr". Les Slaves anciens prononçaient sa première syllabe comme "ou" nasale - "oumpir". Les slaves méridionaux prononçaient "o" au lieu de "ou" et ajoutaient la consonne "v" - "vompir". Ils transmirent ce nom à leurs voisins occidentaux (
)
Oupyr est un esprit malin qui personnifiait autrefois toutes les forces de la nature, hostiles à l'homme. Plus tard c'est un vampire qui sort des tombes, se jette sur les gens et boit leur sang
» Dugin.
En fait, « Sa première trace tangible est un vase préhistorique découvert en Perse et orné dun dessin : un homme aux prises avec un être monstrueux essayant de lui sucer le sang. » Jean Marigny, Sang pour sang, le réveil des vampires, Gallimard, 1993.
Mais il sagit là, semble-t-il, dun effet diconotropie contre laquelle Robert Graves (dans Les Mythes Grecs, Fayard Pluriel, 1967) nous a soigneusement mis en garde. Et, puisque nous avons vu ensemble dans la section Chimère comme dans larticle Blasons* 2 que le meuble ou figure appelé Guivre un Serpent qui engame un enfant ou un humain pourrait être une figuration symbolique du grand raz de marée qui dévasta lEurope du Nord (cf. art. Déluges* : le Ragnarök/ Gigantomachie, et art. Atlantide* boréenne), cela reporterait la date de lorigine de ce mythe vers le XIIIème siècle avant notre Ére comme suite de ce cataclysme : à supposer quil ne soit pas né chez les C(r)immériens de la Mer Noire alors que celle-ci remontait par suite de la fusion des glaciers du Nord-Ouest et de linvasion des eaux salées venues de la Mediterranée, elle envahissait leurs riches terres noires agricoles.
Posons-nous donc la question : ces vampires slaves ou ces Vanth étrusques sont-ils les héritiers de nos Guivres ou Vouivres ? Remontons donc le Temps!
Dans la mythologie grecque : « Les ombres errent dans les champs dasphodèles3 qui est la première région du Tartare, avant lÉrèbe obscur, couvert où habitent Hadès et Perséphoné (Persée, le récurrent)n : leur seul plaisir est dans les libations de sang4 que leur offrent les vivants ; lorsquils les boivent, ils se sentent presque redevenir des hommes. »
Adaptation locale/ ethnique et quelque peu superstitieuse ! du rite* indo-européen dAction de Grâce : de ce sacrifice dun animal qui consistait à rendre à la Terre Mère le sang fécondant de la victime propitiatoire en le versant dans la fosse rituelle soigneusement cuvelée Tymbos (cf. aussi Pierres à Cupules* et autels in Temples*).
Concernant ces Libations de sang, précisons que si on ignorait la transfusion en ces temps, le rôle du sang comme fluide vital était déjà bien établi, doù les libations de sang offertes aux ombres : de là à penser quelles se servaient seules si on les oubliait, il ny eut quun faux pas !
Tisiphoné (meurtre de Thésée ou qui honore le meurtre) était une Erinnye chargée de punir les coupables. Proche en est langoissante Sphinge 5 du grec sphingein étreindre mais, signalons aussi sphygmos léger tremblement de terre: on serait angoissé à moins ! La sphinge, "vierge au doigts crochus, au chant énigmatique", posa une énigme à dipe qui concernait, dans ce cas particulier, le moustique de la malaria : dipe résolut l'énigme en asséchant les marais par un système de drainage à la mode étrusque et le monstre en mourut !
La Sphinge de Délos
« LEmpuse, celle qui force était un spectre hideux envoyé par Hécate et qui sattaquait surtout aux voyageurs. Cétait une sorte de vampire qui suçait le sang de ses victimes, comparable aux Lamies. » Jean Vertemont, Dictionnaire des mythologies indo-européennes, Faits et Documents 1997.
Les Kérès étaient des daïmons célestes qui symbolisaient la justice immanente 6 exécutrices des châtiments divins, elles présidaient aux morts violentes (Vertemont).
Les Lamies Romaines : On retrouve la racine dans le mot lamentation, lamantin, mais aussi dans le nom de la tribu celtique de la nymphe Lamia (Ceux du Tilleul) mais, une comparaison plus intéressante peut être faite avec Laima est la déesse balte du destin*. En grec on a lamia glouton ou sensuel et, surtout, lamos dévorant.
La Stryge était le vampire des nouveau-nés, nouveau-nés mis au monde par Lucine ou Maïa et lon sait que la déesse romaine Carna protectrice des gonds de porte 7 était là pour éloigner ces funestes femmes-oiseaux 8 de leurs berceaux.
Le Stryge sappelle Cesk, à Cenzato/ San Pietro où elle est un prédateur de la nuit9 . Cest là lorigine du fait que :
Toutes ces bestioles imaginaires appartiennent à la famille des strigiformes
et leur nom se retrouve de nos jours dans celui de la sorcière* italienne : la strega.
Les petits esprits séchappent dun grand Pithos
le jour de lOuverture des Jarres
(version citadine de la Fosse rituelle)
Chez les Étrusques : La tradition du vampire est bien attestée : cest la Vanth ou Lasha), un démon femelle ailé et à la taille ceinturée dun gros noeud*. Elle paraît présenter la note au défunt telle Klothé la Parque sa cousine grecque défunt quun Charun/ Charon, ailé et marteau en main, introduit aux enfers cest à dire chez les dieux îinferiis donc sous terre en le présentant.
Le char de la Vanth est tiré par des dragons* femelles et, ainsi, elle évoque bien le meurtre de Persée Pérséphoné cest à dire lhiver, la période pendant lequel Persée le récurrent Printemps est meurtri !
Derrière elle un Cerbère à trois têtes de loup et à queue de serpent dévore des entrailles (image de la fosse rituelle) et, dans un char tiré par des dragons* griffus griffons* semble trôner Déméter la Déesse Mère*/ Terre en personne !
Mais, dans les tombeaux étrusques : « Charun et Tuchulcha apparaissent rarement seuls. Toute une armée d'autres démons de la mort, du sexe masculin et féminin, parmi lesquels la déesse de la mort Vanth les accompagnent. Incarnant tous le destin* inéluctable, ils leur servent d'acolytes. Eux aussi sont ailés, chaussés de bottes de chasse, équipés de massues, de pinces et de lacets ; ils brandissent aussi torches et maillets, tiennent des serpents dans leurs mains. Menaçants, ils planent au dessus des scènes où la mort fait son uvre ou bien, à l'écart, ils attendent qu'elle ait officié. Ils accueillent les morts, les arrachent au cercle de leurs parents et les entraînent. Ils conduisent le coursier de la mort, accompagnent le char funèbre où s'attellent même à lui. Ils précèdent les cortèges funèbres ou ferment la marche ou encore attendent devant la dernière porte.
« Autres symboles de la mort, des animaux sauvages et des monstres peuplent également le monde des morts. Ils guettent au fronton des tombeaux, sont accroupis, prêts à bondir, dans les frises qui, le long des parois, ceinturent les hypogées. Ce sont des chimères et des sphinx, des lions, des panthères et des griffons. Ils attaquent hommes et animaux, chassent, déchirent ou dévorent leurs proies.
« Ne laissant rien ni personne leur échapper, les puissances éternelles règnent impitoyablement sur le Cosmos
» Werner Keller, Les Étrusques, Fayard GLM 1976.
Le Caron ou Charon des Romains était Charun10 pour les Étrusques, un démon cest à dire une dieu subalterne, un esprit qui frappait avec son marteau sur la tête de tout mortel "marqué par la mort", puis le conduisait dans "l'autre" monde (où il connaissait peut-être, on peut toujours rêver une autre vie de bonheur : on voit donc bien ici ce que lÉglise* catholique et romaine (!) doit aux Étrusques)
Tuchulcha est son collègue : il a un bec et une paire d'ailes de vautour, des oreilles d'âne, et son crâne est entouré d'horribles serpents, en somme il est très médusien ou griffonien.
Un autre personnage mortuaire étrusque est Orcus, équivalent dHorcos chez les Grecs dans lequel nous retrouvons le lupus-ircus, le luperque des Romains (cf. le Loup, # 3).
Chez les Nordiques : cet Orcus était connu sous le nom vieux norrois de Hakaal11 mais on retrouve la racine dans Niddhogr, le Serpent du Monde (océan ciculaire) qui sest révolté (Raz de Marée du XIIIe s. AEC) pour accompagner Fenrir (> Cerbère) dans son uvre destructrice : le Ragnarök (Gigantomachie des Nordiques)
Il est remarquable que, chez eux, le revenant se nomme Draug (cf. art. Dragon*) bien proche de Dracula ce nom dont un écrivain à affublé Vlad lempaleur
En Lituanie : Cette Vanth se retrouve en effet plus au Nord car les habitants ont gardé une Croyance (lat. superstitio, superstition pour lÉglise*) selon laquelle, entre le monde des vivants et celui des morts, existe lunivers des Vélès12 (vaonès Å Vanth) ou morts vivants qui ont une certaine présence physique : ce sont des Velniai (cf. les larvae romaines. Cf. aussi art. Elfes* et Manes*).
Ce sont : « Les esprits, Wales, Velnias, Uel (cf. Hel)n, qui ont un statut proche de celui des diables° chrétiens et les uns et les autres sont sous le commandement de Velnias leur maître à tous. » Marc Soriano, Les contes de fée, in Le Monde Indo-Européen, Brepols, B.
Le Vampire polonais se nomme Wikolaki
ANIMATION : CHAUVESOURIS
Chez les Celtes dEurope centrale : Il est normal de voir le Vampire réapparaître dans le folklore paysan car lÉglise* na pas pu tout éradiquer, elle profite même grandement des terreurs irrationnelles quelle encourage : labsence de culture maternelle et didentité, depuis quelle a éradiqué notre Arbre de Vie, favorise la recherche de lirrationnel : notre monde moderne en est une vibrante illustration !
Ainsi, strigoï est le nom des vampires en Roumanie. Le mot féminin français strige représente un vampire mi-chien (Cerbère) mi-femme13 (Vanth), et langlais strike comme lallemand streich 14 signifient grève et arrêt de lactivité, de la vie sociale
Mise à jour du 6 janv. 07 : « Le terme strega, "sorcière" en italien, dérive du grec strix (génitif : strigós ; accusatif, striga ; latin, stix), qui, à son tour, dérive d'une racine-onomatopée indo-européenne *streig, que l'on retrouve par exemple dans le verbe latin stridere ; ce terme indique, tant en grec qu'en latin, le cri des oiseaux nocturnes et des rapaces en général. Ajoutons que l'animal sacré de Pallas Athéna est la chouette, assimilée à tous les rapaces nocturnes et porteuse de valeurs négatives, dès le déclin du paganisme antique. Il faut se rappeler que toutes les religions* pré-chrétiennes connaissaient des animaux totémiques. Le panthéon de l'Europe germanique n'échappe pas à la règle. Il a été le plus durement frappé par la christianisation forcée au cours du VIIIème siècle. Dans ce panthéon, la déesse Freya se déplace dans un char tiré par des chats. Or le chat est l'animal par excellence des sorcières* ; il a été victime pendant des siècles de persécutions odieuses et féroces. » Alessandra Colla, Sorcières et sorcelleries : une question ouverte (cf. supplément [sorclrie.pdf}, lien in art. Sorcières*)
En Égypte : Un curieux rapprochement phonique existe avec le nom de la Vanth : Manéthon nous apprend que : « Les anciens Égyptiens brûlaient des hommes roux et répandaient leurs cendres au loin au moyen de vans15
», il le précise expressément, et Frazer le complète : « Sur les monuments égyptiens, le roi est souvent représenté sacrifiant des prisonniers roux - de ses mains - devant un dieu (Osiris probablement). »
Cest fort Curieux de la part de gens qui étaient eux-même roux dorigine ! Serait-ce un mythe dincinération des ancêtres fondateurs de la dynastie
qui se serait mêlé à lexécution des prisonniers de ces Peuples de la Mer et du Nord quon voit sur les gravures de Medinet Abou
(cf. d° in art. Atlantide* boréenne)
Au Moyen Âge où lon cultivait fort benoîtement () les peurs populaires, on appelait le vampire Alouby et, avec le Garache/ garou (Loup), il était censé participer à cette Chasse Hennequin ou Harlequin dOdhin/ Wotan* qui déferlait pour le Solstice dHiver et à nouveau pour la Nuit de Walpurgis*, cette veillée du 1er Mai qui nous préoccupe en premier lieu !
Concernant une légende de sorcellerie post évangélique, Éloïse Mozzani nous rappelle que : « Les personnes les plus exposées à devenir vampire sont les suicidés, les excommuniés donc, ainsi que les sorciers*, les enfants mort-nés, les victimes de mort violente et tous ceux qui nont pas eut de sépulture
chrétienne » (tout sexplique !)
On trouve bien ici la dégradation dun vieux mythe nordique dans ce châtiment réservé à ceux qui nont pas eu de sépulture chrétienne. Ainsi, du Fenrir ouvrant grand sa gueule sanglante pour dévorer les Dieux du panthéon nordique, en passant par les libations de sang/ commémoration de la mort des Grands Ancêtres des Grecs ou des Romains cest à dire (de ceux qui sont donc devenus) des Dieux* (indo-européen* *Diew : lumineux comme le Ciel Diurne) on est arrivé à travers lhabituelle inversion/ dénigrement, à des morts vivants, des re-venants pour être perpétuellement punis car cétait des vilains sorciers*16 , des suicidés, des moins que rien privés de sépulture
chrétienne17.
Folklore : Les Bulgares nomment leurs vampires Ustrels. Les Valaques croyaient quun enfant né coiffé deviendrait un vampire à moins quon ne lui fasse manger un petit morceau de sa coiffe placentaire : il sagit là manifestement dune de ces inversion chrétienne doù naquirent les superstitions* ! Dans les régions hongroises, on parle doupires18, ou de broucolaques (vroukolakas).
Chimère, sirène, sphinge, défions-nous de ces mots qui, parlant dune figure à peine différente, créent des catégories, des séparations artificielles : tous ces personnages sont des Vanth, intermédiaires entre la vie et la mort, psychopompes bienveillantes ou malveillantes, mânes* ou Elfes et, ensuite démons post chrétiens.
En Grande-Bretagne, au XIIème siècle apparaissent « les premières manifestations de vampirisme au sens propre du terme, cest à dire de morts vivants qui sucent le sang : ils étaient appelés à lépoque cadaver sanguisugus (
) Cétait des morts en général excommuniés (!) et le seul moyen de mettre fin au maléfice était de brûler leur corps après lavoir transpercé à laide dune épée. » William de Newburgh, Historia Regis Anglicarium, 1196, cité par Jean Marigny.
Nous voici donc devant une légende moderne (et non dun mythe* ne mélangeons donc pas les torchons (sales) avec les serviettes (propres) légende déjà bien constituée : essayons donc den retrouver les éléments constitutifs :
a/ excommuniés : lÉglise* trouve donc intérêt à ces terreurs
b/ corps brûlé : redoublement, lÉglise interdisait la crémation, quelle ne tolère dailleurs que depuis peu pour sauvegarder les meubles (et le casuel)
c/ corps transpercé : il sagit-là dun vieux rite* nordique appelé la marque dOdhin qui consistait à percer le corps du défunt dun coup de lance (on pensera ici à sa récupération chrétienne dans la légende dun hypothétique légionnaire Longinus perçant, de même, le corps de Jésus sur le Golgotha). Ce rite est toujours pratiqué par les chamans* bouriates de Sibérie.
Ainsi, la littérature anglaise moderne accouplant la Strige19 et Vlad IV dit Vlad Tépès lempaleur ou Vlad Basarab dit Daracul le dragon*, petit noble valaque héros de la Résistance-Reconquête contre les Turcs musulmans, en a fait Dracula : Nosfératu le Vampire.
Dautres éléments mythologiques ont été incorporés au roman de Bram Stocker : par exemple, le prêtre Saxo Grammaticus dans sa Gesta Danorum parle de Mythotyn20 un magicien que les habitants de Fionie tuent mais qui, depuis sa tombe, provoque des épidémies : on le déterre, on lui coupe la tête, on lempale en lui perçant la poitrine avec un bâton pointu afin de saffranchir de ses méfaits posthumes.
Màj : si vous êtes un mordu (!) de Dracula, vous pouvez aussi visiter
un site sur Vlad Tepes, lequel inspira ces vers à Victor Hugo :
« Vlad Boyard de Tarvis appelé Belzébuth
Refuse de payer au sultan son tribut
Prend lambassade turque et la fait périr toute
Sur trente pals plantés au bord de la route.
Mourad accourt, brûlant moissons, granges, greniers,
Bat le boyard, lui fait mille prisonniers.
Puis, autour de limmense et noir champ de bataille,
Bâtit un large mur tout en pierre de taille.
Et fait dans les créneaux pleins daffreux cris plaintifs
Maçonner et murer les vingt mille captifs.
Laissant des trous par où lon voit leurs yeux dans lombre
Et part, après avoir écrit sur le mur sombre :
Mourad tailleur de pierre, à Vlad planteur de pieux. »
En fait le vampirisme existe :
cest une maladie génétique !
« Selon un chimiste américain, les vampires et loups-garous, ces créatures terrifiantes du Moyen Âge pourraient avoir souffert dune maladie grave, la porphyrie (aggravée par la lumière du soleil et laïl), qui afflige ses victimes de canines proéminentes, de poils sur le visage et les fait souffrir horriblement :
« Ce nest pas une plaisanterie : cette maladie héréditaire peut aujourdhui être soignée par des transfusions dhémoglobine. Mais ce moyen de guérison étant inconnu dans les temps médiévaux, les malades navaient dautre ressource que de boire beaucoup de sang. » Michel Belaton, quotidien D.L. du 8-5-97, à propos de la signature du nouveau livre du Professeur Jean Marigny de lUniversité de Grenoble : Dracula, éd. Autrement/ Figures mythiques, 1997.
Remarque sur quelques chimères supplémentaires
et les liens pour les retrouver :
Nous avons pensé que vous préféreriez suivre les différentes parties (#) de cet article consacré au Bestiaire des Dieux et des légendes indo-européennes* sans vous distraire, sur le moment, en cliquant sur des suppléments tels que :
Licorne*, Loch Ness*/ Nessie, Mélusine*, ou encore Narval* et Sirènes*.
Il sera sans doute beaucoup plus clair pour vous dappeler ces articles (*) en cliquant sur le bouton Sources de la Page daccueil. Vous le connaissez déjà : cest celui qui ouvre un tableau complet de ces articles confortant la thèse et, de plus, il vous donnera les dates des dernières mises à jour/ màj
Biblio Plus :
Dunn-Mascetti -Manuela , Le livre des vampires, Solar, 1993