Visitez nous donc régulièrement puisque :
Il y a toujours du nouveau sur < racines.traditions.free.fr > !
2 Caball : il faut aussi préciser que, curieusement, ce mot signifie chapelle en Manxois (langue de lÎle de Man), il nen est en fait pas très loin et cela pourrait expliquer son adoption par ce syncrétisme judéo-toulousain (Wisigoth) qui a donné la très tardive Kabbale juive
3 Berbère : pour les rapprochements nombreux de leur langue, lamazigh, avec nos mythologies indo-européennes*, voir le site http://www.amazighworld.com .
4 Tachis, cheval de Przewalki : Mongo Thak, Tachi chevaux sauvages signifire aussi esprit ! les mêmes que ceux peints dans nos grottes ornées, du Périgord à lEspagne du Nord, donc cousins des Potioks du Pays Basque*, dits les débroussailleurs.
5 «Mharequa animal mobile comme leau courante. » cité par Paul Girard, où lon retrouve cette racine associée à la précédente qui peut-être en dérive : *eqw, latin équus.
6 Domestication : « Le cheval est sensible aux hormones menstruelles feminines et aussi à ses parfums ! Il vaut mieux éviter sa fréquentation à ces périodes et éviter de se parfumer. » Pierrette Brès.
Signalons la réedition de Lart de soigner et dentraîner les chevaux, texte hittite du maître écuyer Kikkuli, Édit. Favre 2000 : on semble navoir pas inventé grand chose depuis !
7 Mandubiens ou Mandubéens dont la capitale est Alésia !
8 « Le centaure est fils de la nuée » > Nebel, Nifl, Niflheim.
9 Syn : cf. nos mots syn-crétisme et synécisme depuis les racines grecques.
10 Part : chez les grecs, un lot se dit aisa ou moira. Un mora est aussi un corps dinfanterie spartiate, mais pour les latins, cest un délais, un retard (un contretemps )
11 More : en provençal mourent signifie crue de rivière. Curieux, nest-ce pas ?
12 Épidémie : ce double sens relativise dailleurs le rôle des épidémies dans les traductions des mythes celtiques : il pourrait alors sagir des chevaux décume cest à dire des neuf vagues ou Raz de marée boréen figuré par le monstre Kelpie (cf. infra)
13 Cauchemar : du vieux français cauché piétiné par, et mare jument de la mort (cf. Mähre jument en allemand).
14 Anku : quon retrouve aussi dans Angrboda, corps dangoisse le nom de la femme de linfâme Loki ! La racine indo-européenne *ang donne une idée de serrage et détranglement doù le latin angere serrer à la gorge, oppresser qui nous a re-donné angoisse. De même le grec ankhein à re-donné angine de poitrine dans ces classiques étymologies* gréco-latino-centristes qui ne tiennent jamais compte du germanique et du celtique (ou si peu).
15 Mors : il y a donc un cousin du Narval qui mérite bien son nom : le cheval marin ou Walroß, qui est un morse, mortel pour nos aventureux pécheurs du Maglemose (cf. art. Narval*)
16 Moros : Signalons que le Péloponnèse, lantique Morée qui fut le lot des transfuges Doriens, avait été délavé sur 80 m de haut par le raz de marée dû à lexplosion de Théra*/ Santorin : comme terre daccueil pour les Doriens transfuges du Nord, ce nétait pas un cadeau !
17 Mort et Mer : ce qui confirme notre interprétation des chefferies du Maglemose (id)
18 St Victor : Rien de chrétien dans tout cela. Des glissements progressifs du sens des mots, une colonisation constante de mythèmes éclatés, des dénaturations, puis des légendes édifiantes au nom desquelles les pèlerins, ahuris de propagande et de pensée unique se massacrerons les genoux dans des processions de contrition, et toujours à cause de cet ahurissant conte du péché originel (cf. art. Église*)
19 Mora lise : écrit à la mode de la langue des oiseaux chère à nos (re)Trouveurs (Troubadours et autres Chanteurs de la Mémoire Minnesänger), on y verra que Mora, ce destin de mort détruit (lyse). Ceci est un bon exemple de ce que pouvait être la Joie des Troubadours* (cf. art.)
20 Huit : Il nous semble reconnaître ici les huit stations solaires du Muhlespiele/ Escarboucle. et ce huitième pourrait être le Nord : le grand Hiver (cf. Tilak in art. Origine* polaire)
21 Équs : Cette racine est parente de aequus, idée déquilibre, dégalité comme le sont le cavalier et sa monture et les 2 chevaux du bige liés au même timon de char
22 Épona : identifiée à Cybèle et à Déméter, elle est parfois représentée avec une tête de cheval et comme étant la parèdre de Poséidon* Dieu de la Mer : cela donne à penser ! (Cf. # Chimères )
23 Fertilité : on remarquera dans nos folklores les chevaux qui, frappant la roche de leur sabot, font jaillir une source fertilisante. Au Moyen Âge dit courtois, ils ont été changés en Licorne dont la défense de Narval* servait à émonder les sources, comme avec une tarière Rati, son héritière La lance de tournoi et lépée des Lumineux Chevaliers a perpétué ce rôle et lon y verra un effet de la Kala, la prescription secrète des Troubadours*.
24 Bige : char attelé de deux chevaux, comme celui des Dioscures. Le quadrige figure, lui, le trajet solaire autour des quatre points cardinaux, c. à d. autour du Monde
« Cheval blanc, toi que lon voit galoper comme un fou,
Dans les premiers rayons et la rosée daurore,
Annonces-tu le Jour et le Temps des Amours,
Et ces beaux jours de Mai où les Dieux règnent encore ? »
Björg Svasud
26 Psychopompe : qui conduit lesprit, la partie vivante (anima), c. à d. les âmes
27 Cavalerie : le bruit du tonnerre peut facilement évoquer une cavalcade de chevaux fous !
28 Méduse qui, dans ce contexte, est le Séisme suivi de la Grande Submersion boréenne (cf. art. Déluges*). Pour P. Monaghan, dans son livre Mother Sun, elle serait une Déesse solaire démembrée et re-naissante : on pensera, entre autres, à un parallèle avec le couple Isis-Osiris
29 Alsvidr : dans lequel on pourrait voir un Alce de la Forêt, ou bien le Tertre de lArbre mais, hors contexte, le décryptage dune kenning nest pas chose aisée, dautant que plusieurs traductions sont valables à la fois selon la trifonctionnalité utilisée aussi en pétique, et la logique du tiers inclus, doù toutes les triades bardiques qui sont complémentaires les unes des autres, et surtout pas exclusives !
30 Malédiction : cette contradiction peut surprendre mais, il importe de se rappeler deux choses : d'une part les superstitions (résidus de "croyances") arrivent quand "l'esprit du rite*" (le sacra) s'est perdu et qu'il ne demeure plus que la lettre du rite et en particulier les interdits (le casta), ce qui est le propre de laction de lÉglise* et, d'autre part noublions pas quil s'agissait là d'un rite* funèbre d'évocation des Mânes*, les bons ancêtres, donc dun rite de Mémoire !
31 Enfantement : comme Eléithya et Maïa
32 Ce cheval blanc païen étant un onagre, un âne blanc, on ne sétonnera pas quil ait été affecté à Marie dans les légendes chrétiennes, histoire de leffacer de notre Mémoire européenne !
33 Diane, qu'on appelle quelquefois Artémis Saronide, "du chêne creux" comme on dit Aphrodite Askr-aïa, "chêne stérile. Ceci me fait penser que cette archaïque vestale fut consacrée aux Dieux parce quinféconde. Le Christianisme reprit cette coutume païenne pour les nonnes : des messagères, des "anges purs et radieux Les gauloises nones sont équivalent aux Nornes/ Parques du destin*. Par ailleurs le chêne creux est un mythème récurrent dans les légendes médiévales. On se rappellera le rite de fécondité qui consistait à dormir dans un phallus processionnel creux (cf. Phallophories) et celui de guérison en passant au travers dun arbre creux !
34 Érin : la verte Érin est lIrlande
35 Hécate aux cent pieds : Hécatepous serait-elle la chimère Kelpie, proche du celtique caball chien, ce cheval à tête de chien qui déchire le flanc de ses adversaires
36 Harpies : les dévoreuses, les faucheuses, penser au mot grec harpé qui est une faucille
37 Observatoire : son pendant est Penzance en Cornouaille, un archaïque Ballon (cf. art. Astrologie* nordique). Ne croyez pas que notre esprit poétique nous porte à exagérer, les scientifique font bien plus fort : « un crâne (fut) trouvé sur le Mont et attribué à lévêque Aubert (qui exista historiquement). Mais lanalyse au carbone 14 lidentifia depuis comme venant dun homme de Cro-Magnon ! » Bernard Bouyer, revue Message n° 54. Comme on le voit, cest un ancêtre gênant pour lÉglise*
38 Belgae : les hommes au bateau des treize provinces des bas pays. Une autre étymologie fait cependant de leur pays, Bel gae, la terre de Bel, Belenos. De cette racine bolg vient la blague, un petit sac de peau (de grue sans doute ), mais aussi la vessie/ bouée du harpon de leurs ancêtres des chefferies du Maglemose (cf. art. Narval*) que nos médiévaux Fols avaient conservée.
39 Wayland est le forgeron des dieux scandinaves quils appellent Volund dans lEdda.
40 Magique : ce qui fait de lui un Siegfried solaire (cest un pléonasme), ce Héros qui combat la Ténèbres hivernale avec son rayon/ épée solaire !
41 Le rôle des colonnes est important dans les mythes* celtiques. Le têtes coupées des ennemis sont posées sur des colonnes. Cuchulainn, le pilier dIrlande, meurt debout, attaché au bâton de la corneille, la Bobd. Et, si Ulysse est rituellement attaché à la colonne de son mât dans le mythe des sirènes* (qui nétaient que des choristes atlantes), cela nous montre quil y eut probablement collusion entre deux mythèmes : colonne > mât, Mai, Clou (cf. § in art. Irminsul*), et corneille > Cronos, le coupeur du temps astral, si ce nest Odhin/ Wotan* le génial graphiste de ces astérismes secrets que sont les Runes* et qui découpe le Cercle journalier en 24 Heures
42 Cuchulain (le chien de Culann), héros celte en fureur guerrière (la ferg), faisait fondre la neige à trente pas ! Cest ce qui explique pourquoi les Gaulois combattaient nus : cest excellent pour augmenter la vitalité, donc lefficacité au combat ! Plein dénergie, il était donc au sens propre du mot grec un énergumène ! Mais cela peut être en rapport avec son personnage solaire
43 Cette foudre alluma des feux de forêt (fir-fire-Feuer-fioc/ fuoc) qui créèrent les premiers essartages, lieux des futurs Németons : ces lieux sacrés* où furent édifiés les premiers temples* sur les cendres du vieux Dieu* Chêne qui, tel Hermès* quadriviae, veillait sur les layes, ces chemins qui mènent quelque part ! : vers les lieux où se lève et se couche le Soleil aux Solstice dÉté et dHiver !
44 Asha : navez-vous pas pensé à Ask, le pénétrant dEmbla, chez les Nordiques ?
45 Cheval de bois : sa parenté avec le Cheval-jupon des Basques* est évidente (cf. art. Danse*).
46 Pentecôte dont on sait qu'elle est un doublon chrétien et anticipé de notre aurorale hiérogamie* du 1er Mai
42 La racine drasil peut être rapprochée de lAnglais to draw tirer, dessiner (mais aussi tracer rapidité) et, en Sanskrit, le mot cheval évoque la flèche, le trait, ce qui se meut rapidement (ce qui peut nous permettre de comprendre le rapprochement Soleil/ Flèche/ Cheval)n
47 Mordre : y-a-il eu collision entre les cent chevaux de Nérée lHécatepous la jument noire au masque de chien Caball ou la Gorgone Méduse, et le terrible drakkar des Viking ? Ou bien, est-ce un élément rituel archaïque dont le Char Naval* des Romains serait un autre aspect car-naval-esque ? Comment ne pas penser alors à nouveau à la Grande Submersion atlantido-nordique (ou à sa parallèle, celle de Théra*) ?
48 Autorité : Tracteurs (traceurs) du Soleil pour la nuit et pour le jour : de ces deux activités-runes, Vanes et Ases donnent à lEdeling (lhomme noble) son pouvoir dubiquité, sa rapidité dinformation et dintervention et cest là lorigine de la Ière Fonction* dumézilienne dite de souveraineté.
49 Jupes : doù elles ressortaient symboliquement (magiquement) fécondées par ce rite de hiérogamie* populaire occulte !
50 Harmonie : selon le philosophe grec Philolaos, lharmonie est la mise en concordance du discordant où lon trouve la racine corde qui nous amène aux phénomènes vibratoires, oscillants, et donc à la musique (cf. art. a e i o u *). Cette harmonie équestre est dailleurs utilisé dans certaines psychothérapies ainsi quen pédagogie de réinsertion sociale
51 Avant Cela pourrait-il être une figure de la Guerre* de Fondation ? La chèvre : lainée, et Zeus le puiné, répétant les Vanes et les Ases peut-être ?
52 Égyptiens blancs et roux, comme le dit leur mythologie, et comme le confirme la récente expertise génétique en 2001 dun cheveux du pharaon sur la demande de la Société lOréal !
53 Tassili : Penser ici aux Kynes ou Kynésiens, habitant le coin du sud de lIbérie et dont le sommet est lancien ballon/ observatoire dominant lactuelle Gibraltar (cf. aussi art. Berbères*)
54 Cyon : R. Reznikov rappelle que « Plutarque fit remarquer (in Isis & Osiris) que cyon était proche de la forme verbale cyo, signifiant je suis grosse ou je suis lourde dont la traduction en égyptien donne Sothis (Sirius). Ce serait donc, daprès lui, une origine possible du nom de chien que les Grecs attribuèrent à lastre dIsis »
55 Hrimsvotn : le Vatnajökull dIslande ou Glacier de Wotan recouvre un terrible volcan, le Grimsvotn (Wotan masqué) qui sest récemment réveillé, le 29 septembre 1996, faisant fondre la glacier par lintérieur jusquà ce quun lac de 50 000 m3 se vide dun seul coup avec un débit proche de celui du fleuve Amazone, balayant ponts et routes sur son passage ! Léruption principale du Vatnajøkull eut lieu le 2-10-96. Alors, apparut le Mythe* du Feu et de la Glace dans notre réalité palpable : les Anciens nont pas menti : le Ragnarök est toujours possible ! Et, le calme apparent depuis , nous fait dire que nous lavons échappé belle, mais jusques à quand ? Jusquau reveil de Fenrir !!!
56 Inferno : vient en fait de Dii inferi les Dieux inférieurs
57 Les Guanches des Canaries (lîle des chiens) chez qui le mot cancha signifie chien et, en latin, le nom des Canaries signifie îles des phoques ; un sens second, probablement, mais qui peut être éclairant : ces têtes de chiens seraient en fait des têtes de phoque .
59 Nécromantique : ceci est à rapprocher du collier du chien de Charles Quint et nous remémore aussi Gleipnir, ce collier magique du diluvien Fenrir
60 Trésor : lOr du Rhin, celui de lembouchure Ass, Oss , Héligoland/ Atlantis ?
61 Cf. J.-J.. Mourreau, La Chasse Sauvage, rev. Nouvelle école N°16, Copernic,1972.
62 Le latin macerare faire tremper pourrait nous remémorer le grec makaron les Bienheureux des Îles du même nom : curieux, nest-ce pas ?
63 choux : « Si le nouveau né sort du choux, cest quil était dans lchoux!
64 Oiseau sacré : cependant le Lévitique la qualifie dimmonde (11-18,19), quoique les Arabes disent quelle est Hadj parce quelle se rend à la Mecque une fois par an.
65 Kokkos est, paraît-il, un nom qui est en rapport avec le rouge écarlate (crête). Le kokku/ coucou en est bien proche mais ce sont des onomatopées, comme nos Bourguign ons qui nomme luf à la coque un coco (ils ne sont pas les seuls )
66 Coq rouge, rote Hahn : Hahn est une forme de lindo-européen *Kan chanter doù Hana, Anna, Nana berceuse et le nom générique des nurses autrichiennes : Nanerl
67 Bran : par mutation daccent, cest à dire dune voyelle, on obtient bren, hauteur ; bran(d), brûlé ; et bron, sein, devenu fontaine chez les Celtes septentrionaux, en allemand : Bronn. Voilà de quoi alimenter la langue des oiseaux (cf. § Kala in art. Magie*)
68 Jormundgand : quon devrait sans doute appeler Jormundgrond : Rudbeck, qui a étudié lAtlantique Nord, ce lieu de lHyperborée*, à retrouvé une racine nordique dans ce mot norvégien désignant les gouffres marins : grond, précédé du privatif grec a dans Achéron, c est un mot qui signifierait sans fond (rappelons-nous bien ici que les Doriens descendaient du Nord ! Màj 28-9-05.
69 Strabon. Cest dans la période décorative classique quils furent remplacés par des aigles
70 Aux Indes, Hamsa (de ham j'inspire et sa j'expire) est le souffle de l'homme.