1 *N. B. : Les mots avec astérisques* sont des titres d’articles consultables dans le “Livre-CD” de l’association et correspondent à un deuxième volume de notre étude sur Les Origines de l’Arbre de Mai comme étant issues d’une Atlantide boréenne pré cataclysmique. Les articles de ce 2° tome “Les Sources” sont chargés progressivement sur le site.

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2 Atlas : Paraphrasant – à peine – la Mythologie, faisons une petite généalogie : “Atlas est le fils de Neptune et règne après lui. Il cultive l’astronomie, fonde un observatoire sur la montagne Ouranie qui domine la “Grand Marais” Maglemose en l’Île Sainte (Helgolandt).
  ”Hespérus, son fils, continue la tradition paternelle et ses sœurs, les Atlantides, donnent leur nom aux sept étoiles des Pléiades (La Poussinière) que leur père à découvertes. Elles se consacrent elles aussi à “la religion* astronomique*” et sont les premières vestales°, entretenant le feu* sacré.
  ”Les Hespérides, filles du même Herpérus, et également au nombre de sept comme leurs tantes avec qui ont les confond souvent, donnent leur nom au jardin fameux où poussait les Pommes d’Or de Sagesse qu’Hercule “gloire d’Héra” (du Marais) apportera à Junon la Jeune et allant vers le Sud.”

3 Une des Pléiades se nomme Méropé : “cette fille d’Atlas, une Atlantide donc, était la femme de Sisyphe le fils d’Éole et petit-fils d’Hélène. Sisyphe la rendit mère de Glaucé laquelle fut mise en pièces par ses cavales qu’avait excitées Aphrodite. Ce Sisyphe, qui avait abandonné Anticlée après l’avoir séduite, était donc le vrai père d’Ulysse. Zeus lui envoya Thanatos le dieu de la Mort, mais il réussit à l’enchaîner. Arès vint alors délivrer Thanatos qui contraignit Sisyphe à le suivre dans Érèbe la sombre. Il en sortit temporairement pour châtier sa femme qui refusait d’honorer Hadès, puis il refusa de revenir aux Enfers. C’est Hermès qui dût l’y ramener et Sisyphe fut alors condamné à pousser éternellement un énorme rocher qui retombait sans cesse tandis qu’une Érinnye le fustigeait sans cesse”… Selon Théopompe de Chio : « les Méropes étaient les habitants d’un continent secret situé bien loin à l’Ouest. Ils étaient gouvernés par une reine mythique, Méropé, fille du géant “Libyen°” Atlas ». La Méropide de Théopompe est donc l’Atlantide boréenne ! Quand aux Libuens antiques, ancêtres des Æguptos, ils venaient du Nord-Ouest avant de fonder leurs nouvelles cités sur les rives africaines de la Méditerranée…
  « La punition de Sisyphe évoque l’année “polaire”. La montée de la pierre vers le sommet renvoie à l’élévation du Solail en direction du nord. Le point culminant s’identifie au solstice d’été. Une fois celui-ci atteint, la pierre chute. Deuxième partie de l’année. Arrivée au plus bas, une nouvelle ascension commence, c’est un nouveau cycle annuel.

4 Japet : Japetos père de Prométhée et d’Épiméthée est le Japhet de la Bible (le Père des Européens) dans laquelle ses frères sont Sem (les Orientaux) et Cham (les Africains?), tous trois fils de Noë, ce qui est le schéma symbolique de l’apparitions simultanée des trois “Grand Races”.

 Màj 11 nov. 04 : Mais, une autre version (ethnique?) de la mythologie grecque nous dit que “Japetos, le père d'Atlas et de Kronos, le Seigneur du Temps. Ils avaient, leurs domiciles "à l'extrême bord de l'Océan", ce que nous devons comprendre comme "la Mer du Nord". Atlas soutient le large ciel au bord de l'Eridanos (Eider)n, le "courant de l'ambre jaune", dans lequel les filles du Dieu-Fils Helios "épanchent autour de Phaeton leurs larmes d'or d'ambre jaune à la lueur brillante, en se lamentant dans les hautes marées pourprées de la rivière"…

5 Nérée : “le Vieux de la mer” était fils de Pontos “mer” et de Gaïa “terre”. Avec Doris (cf. les Doriens) fille d’Okéanos, il eut les 50 Néréides qui abandonnent quelques fois le palais sous-marin de leur père pour jouer dans les vagues (cf. notre art. Sirènes*)…

6 Ase-Terrie : Ce n’est pas là une hypothèse aventurée puisque nous lisons aussi dans la Mythologie : « Asia était fille d’Océan et de Téthys (Cétus, cf. art. Déluges* et Narval*), femme de Japet, mère d’Atlas, de Prométhée et d’Épiméthée ». C’était donc la matrie des Ases, l’Ase-Terrie ou Atlantide* boréenne située à l’Est… de l’Islande !…

7 “Unique bouclier” : cf. l’Ancile de Numa et le Disque céleste de Nébra et l’escarboucle héraldique ou Muhlespiele…

8 Prométhée qui créa le premier homme façonné dans l’argile/ limon, lui appris les mathématiques, l’écriture* (runique), l’astrologie*, l’agriculture et la navigation. N’est-ce pas de ces mythes d’une renaissance depuis le limon et la boue que naquit l’idée de la “génération spontanée” ?
  Par ailleur la Mythologie nous dit qu’il fut attaché dans le Caucase à… l’axe du Pôle : une fois de plus les tranfuges ont rebaptisé du nom de leur Caucase nordique (cf. Co-Ca, Cocagne…) leur nouvel établissement à l’est de la Mer Noire (Pont)

9 Ægyptos signifierait, selon Robert Graves, “bouc étendu sur le dos”(?) mais aussi gyptos “Égyptien”, mais nous en verrons d’autres sens étonnants, un peu plus loin…

10 Croix : « c’est la forme de la “croix celtique”* complète, la forme du Cromlech d’Aveny en Normandie et de Bourg en Île de France, ainsi que celle d’A(ve)bury et de Stonehenge en Grande Bretagne ou de Kival au Sahara. De même, de l’autre coté de nos Alpes Graies°, passant devant la divinité gauloise Granos, Romanisée en Columna Jovis°° au carrefour des Alpes Pennines°°° et des Alpes Cottiennes, se tient le curieux château de Ferris en Val d’Aoste, château qui possède trois enceintes circulaires. La ville, qui doit son nom actuel à l’empereur Auguste, s’appelait Cordeles en –505, et était peuplée par les “Salasses, (joyeux)n compagnons d’Atlas »Severin Batfroi, Histoire Secrète des Alpes, Albin Michel. (cf. Croix° celtique in art. Blasons*)
°Graies vient de la même racine consonentale Pré-indo-européenne* Gr, Gra, qu’on retrouve dans Grenoble, “Granno Bel” (cf. Bélénos in art. Apollon*) dont l’étymologie selon le latin Gratianopolitanus n’est qu’une explication post-évangélique, fausse comme toujours. Ne pas confondre avec les Grées, les Grises, ancêtres des Doriens, quoique
°°Jovis, surnom de Jupiter, “le Père la Joie”, a donné localement Joux : nom de forêt. Mont Jovis a donné Montjoux à Saint Gervais, et Montoux alors que le mot savoyard ou suisse romand Tor signifie “sommet rocheux” et c’est bien lui qui attire le tonnerre de Thor/ Donnar !
°°°En souvenir du passage des Carthaginois, les Berbères* de race celtique d’Hannibal : les poeni puniques, phoïnix en grec, “Phéniciens”. En celtique Pen = “tête, chef, pointe”. (Non pas Berbères mais Kabyles càd Kvayel dans leur propre langue: cf. site de Slimane ZAROURI, “Culture et traditions kabyles”, sur http://www.kvayel.com , courriel : izim@free.fr

11 Médinet-Habou : Ramsès III fit creuser sa tombe dans la vallée des Rois. Le monument le plus important érigé par ce pharaon fut son « château de millions d'années » de Médinet-Habou. Les pylônes portent deux hymnes célébrant la gloire du pharaon et de l’Égypte victorieuse. Le plan de ce temple reprend celui du Ramesseum.

12 Mer se dit en grec Pontos, Pont (–> pount) : L’introuvable et mystérieux de “Pays de Pount” serait-il tout simplement… le Pays des Peuples de la Mer ?

13 Visage nordique : appelés aussi “Peuples de la Mer et Nordiques de tous les pays“ : « Les représentations des reliefs égyptiens nous montrent ces Peuples de la Mer et du Nord comme ayant les yeux bleus et les cheveux blonds, comme par exemple dans la tombe de Senye, fonctionnaire de la cour de la XVIIIème dynastie ». Herman Wirth, La Montée de l'espèce humaine, Diderich Iéna1928.

14 Arc : en grec paralleloi et en latin circuli.

15 Héligoland : dont l’ancien nom était Forsetes Landt, était un centre sacré*, tout comme Stonehenge ou les Externsteine.

16 Phérès : « Les témoignages égyptiens établissent avec exactitude le lieu d’origine des Atlantes : l’Allemagne septentrionale, le Danemark et la Suède méridionale. Les noms de ces peuples cités par Ramsès III (Phérès, Saksar et Denen) correspondent probablement au nom des trois races germaniques les plus anciennes : les Frisons, les Saxons et les Danois. » Peter Kolosimo, La planète inconnue. Ceci n’empèche évidemment pas que les réfigiés Phérès, abandonnant leur pays sous les eaux, s’installent en Tessalie (cf. art Salasses*) où leur roi s’appelait Admète… Enfin, admettons-le !

17 Les Phéniciens de Carthage nommaient la grande île de l’Océan, Antilia “l’île d’en face”. « L’étendue couverte par le commerce des Phéniciens correspond à l’ancien Empire atlante (…) il s’échelonnait de la Baltique jusqu’au Golfe persique… » Et Strabon, qui poursuit, estime qu’il y avait trois cent villes le long de la côte ouest de l’Afrique…

18 Les Turcs, dont certains sont légèrement mongolisés depuis par des invasions orientales, sont les descendants de ces Tourshas d’Asie mineure, de Tour, Tyr, Troja, Troie, qui descendent des Hittites et par conséquent parents des Tyrsénoï, une composante culturelle des Étrusques. On dit que les Turschas étaient apparentés aux Tartessiens de Tartessos*/ Tarshich (cf. Tortosa, en Ibérie, E).

19 Haithabu : i.e. le site préhistorique de l’actuelle Hedeby en Schleswig-Holstein (D) !