**LÉtoile polaire est appelée chez les Nordiques lil dOdhin (on se rappelle quil lavait laissé en gage dans la fontaine de Mimir/ Mémoire en échange de la science des Runes* et nous pouvons avec notre optique astrologique nordique comprendre que cette Science des Runes est inséparable de cet axe du monde que nous verrons aussi au § Clou de larticle Irminsul* et qui, comme constellation de la Petite Ourse, est appelée par certains la Croix du Nord1 ou Rune Algiz (r; du Cerf Alce) mais encore Le Chariot de la Dame qui est le véhicule de Frigg la Grande Mère, la Dame de Wotan doù, plus tard, ce nom de Chariot de Notre-Dame : on comprendra donc que ce Cerf puisse tirer le Chariot de Wotan et, partant, celui du Père Neu Helle pour la joie des petits !
Notre actuelle polaire, Polaris ou le Clou (!), ou bien lOmbilic* dAurwandil (a de la Petite Ourse) est notre polaire depuis 1400 EC. Le centre de la roue cosmique est lOurs, comme Arthur est le centre de la Table Ronde/ Zodiaque. Mais, lÉtoile de Tir (Tyr/ Tiwaz), actuellement létoile-guide (32 de la Girafe), était la polaire vers 800 EC. En -5.000 cétait Thurban, létoile alpha du Dragon (Vertemont, dict.) et en 12.000 ce sera Véga LÉtoile du Sud*, alpha de la Lyre, repère du Temps nocturne qui aide les voyageurs et les navigateurs.
Les Goths sont souvent présentés comme une confédération de nomades qui se déplaçaient sur des chariots en se guidant sur les étoiles, particulièrement les deux Chariots ou Ourses (en grec Amaxa, racine quon retrouve dans le nom grec des Goths, les Amaxoluoï2) : pour les Goths, comme pour tous les pasteurs nomades, la seule carte routière était en effet celle du ciel où le principal repère est la polaire qui se trouve au sommet de la petite ourse (Gérard de Sède).
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Létoile Polaire (Mise à jour du 27 juil. proposée par <fdes1@>) : « H. Wirth, le foyer primitif des Nordiques : Lindication, commune à tous les peuples indo-européens, de létoile Polaire comme « étoile guide » se réfère à une très ancienne tradition : vieux norrois leidarstjarna (littéralement « étoile du chemin », de leid : « chemin »), anglo-saxon ladsteorra, anglais loadstar, lodestar, « étoile polaire », moyen bas-allemand leiderstern, hollandais leidstar, moyen haut-allemand leitstern, nouveau haut-allemand Leitstern. Dans le plus ancien danois on trouve aussi ici leding, moyen bas-allemand ledinge, anglo-saxon Scipsteorre (étoile des navires), plus vieil anglais steering star, « étoile du timonier ». Après la découverte de la boussole, le vieux norrois leidarsteinn, anglais Loadstone, lodestone, fut formé pour désigner l« aimant » (6). Depuis les plus anciennes représentations de la rose des vents, des directions célestes de la boussole, le nord a toujours été représenté sous la forme de liris stylisé, qui déjà au Néolithique était le symbole de lArbre de Vie, et par de nouveaux [symboles], tel le trèfle, comme indication de laxe céleste méridional-septentrional, employé seulement pour le nord (7).
De ces très anciennes traditions arctico-nordiques exposées ici, résulte une brève comparaison de limportance de létoile Polaire chez les peuples circum-arctiques. Chez les Indiens Pawnee du Nebraska, « létoile qui ne bouge pas » est la principale étoile du ciel (8) ; les Aztèques du Mexique la considéraient carrément comme plus haute et plus puissante que le Soleil lui-même. Chez les Tchoutches, le dieu principal est celui de létoile Polaire (9), tout comme au sud de Babylone, létoile Polaire est le trône du dieu céleste suprême Anu.
Dans la poésie populaire islandaise elle sappelle veraldarnagli, « aiguille du monde » (10). Avec ceci il faut observer que lindication « dieu du monde », « homme du monde », est une très ancienne dénomination nordico-atlantique du fils de Dieu et de Dieu le père. Tandis que dans lYnglinga Saga (c. 13), Freyr, originellement le nom du fils de Dieu de la période de Riete (série p-, -f-, -b-), le « Seigneur », reçoit encore la désignation de veraldar god, en lapon on conserve encore la dénomination plus ancienne d« Âge du renne », veralden olma, « homme du monde ». Nous trouvons la même désignation de létoile polaire dans le finnois taivaan sarana, « ange du ciel » et pohja nael, « clou de la profondeur (du ciel) » ou « du nord » (pohi, « profondeur » et « nord »). De la même manière, chez les Lapons elle sappelle bohinavvle, « clou du nord » : quand elle disparaît, le ciel tombe, une conception qui sest transmise aussi aux Celtes. Les Samoyèdes de la région de Turuchansk lappellent « clou du ciel », « autour duquel tourne le monde entier » (daprès Tretjakov). Les Korjaks lappellent, comme les Tchoutches, « étoile du clou ».
Là où est le « clou du monde », on trouve la cime du tronc de « larbre du monde », de la « colonne du monde », qui est donc « tournée vers le nord » : le clou du monde rattache le cime de l« arbre des mondes », de la « colonne du monde », au ciel, en tant quaxe du ciel. Les Lapons scandinaves appelaient létoile Polaire veralden tsuold, « colonne du monde », les Lapons russes alme-tsuolda, « colonne du ciel » (11), où alme est identique à olma, nom du dieu suprême, veralden olma, « homme des mondes », « dieu des mondes ».
Le « clou du monde » (veraldarnagli) au sommet de la « colonne des mondes » (veralden tsuold), du symbole sacré du dieu suprême, de l« homme des mondes » (veralden olma), fut vu et décrit par Knud Leems comme une « colonne du monde » lapone, daprès Porsenger (12). Comme chez les Ostjaks, cétait une poutre quadrangulaire, au sommet de laquelle se trouvait une pointe de fer, le veraldarnagli. La « colonne du monde » se situait entre les « deux montagnes », symboles du solstice dhiver et de la division de lannée. (
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Les Gémeaux (màj 29 juil. 05) : « la Constellation que le langage populaire appelle la civière, le brancard, comme le rapporte Grégoire de Tours (540-594). C'est sur ce brancard que Blanche-Neige ressuscite et que le printemps revient.
Le Soleil était dans la Constellation des Gémeaux en 5500 avant notre ère (en 2300 avant notre ère, il était dans les Pléïades). Et en effet, dans les gravures rupestres scandinaves de l'Age du Bronze, on trouve un brancard portant le Soleil ! L'histoire de Blanche-Neige remonte donc à près de 7500 ans ! Plus tard, quand la carte céleste s'est modifiée, est née la légende du Petit Chaperon Rouge, autre figure solaire, parce que le Soleil entre dans la Constellation du
Loup [cqfd !!!]n
L'interprétation astronomique des légendes permet leur datation précise. » L'Astronomie des plus anciens Indo-Européens, Ralf Koneckis, in Synergies Européennes, Combat Païen, Juillet 1990.
Màj du 21 Oct. 05 - Lescarboucle héraldique et les Templiers* : Sur le portail royal de la cathédrale de Chartres reconstruite par les Templiers après lincendie de la précédente cathédrale romane vous remarquerez les voussures de la Porte de droite de lancienne cathédrale romane probablement construite aussi par eux :
Dans le livre de Pierre Dupuis (B infra) nous voyons sur lillustration de la page 32, de haut en bas :
a / les Gémeaux fils de Zeus ou Dioscures (dios kouroi) un symbole astral, certes, mais figurant ici déjà les Templiers présentant leur Blason* mystique meublé de lEscarboucle ou Étoile octoradiée de Wotan* que lon retrouve sur le Bouclier dAchille ou de celui Numa3, héritiers méditerranéens du Disque du Ciel* de Nebra (D). Cette véritable Table Ronde de méditations des initiants*, nest autre que la Pierre Philosophale
donc, en un mot, LE GRAAL* !
b / Comme vous lavez remarqué, ces Dioscures/ Templiers sont sur un socle qui pourrait bien figurer un
pavois, donc une élection : nest-ce pas le propre des Initiés !
c/ Dessous : les deux corbeaux Huginn et Muninn dOdhin/ Wotan* posés entre les trois branches feuillues ou fruitées de
lArbre* du Monde Yggdrasil/ Irminsul* ?
d / Et, dans ses racines, on trouve habituellement la terrible Niddhog, serpente-dragon* qui provoqua le Ragnarök/ Gigantomachie mais, elle est devenue ici un poisson mangeant le Wurm/ vers du Ragnarök/ gigantomachie des Nordiques. Ce poisson qui ouvre lère des Poissons (signe zodiacal) fut évidemment intrprété comme étant le christianisme des catacombes
?
Ce sont ces Templiers* que Pierre Dupuis appelle Les Gardiens du Château du Graal dans son livre La Cathérale de Chartres, Sur la trace des Templiers (éd. Dupuis 2005), un excellent ouvrage dont nous avons tiré ces quelques notes en y mettant toutefois notre propre grain de sel ! TT.
** Le LION (Màj 29 Juil. 05) : La constellation du Lion, animal qu'ils ne connaissaient pas, est appelée par les Européens du Nord) la Constellation du Cheval (L'Astronomie des plus anciens Indo-Européens, Ralf Koneckis, in Synergies Européennes, Combat Païen (B), Juillet 1990.
**Le Loup Fenrir : est Antarès°, alpha du Scorpion (lÉcrevisse des nordiques), scorpion quon retrouve attaquant les bourses du Taureau dans les bas reliefs Mithriaques
(cf. Le Petit Chaperon Rouge, ci-dessus)
**Les Mâchoires du Grand Loup qui font un demi cercle détoiles depuis Pégase dans la voie lactée jusquau Cygne en comprenant Le Mordeur° (Fenrir ? Deneb Adige ou al Gedi), la Queue du Bouc nordique, c. à d. delta du Capricorne. Ces mâchoires ouvertes font face au Pilier du Ciel Irminsul* car ce terrible loup Fenrir menace toujours laxe cosmique, lYggdrasil scandinave
**Les Mâchoires du Petit Loup : en face de la Bataille des Dieux se trouve cette constellation, les Hyades et le Suiveur (ou alpha du Taureau/ al Dabaran), qui repose directement sur lécliptique, interceptant la course du soleil ce qui provoque un rafraîchissement, la pluie, les tempêtes. On les appelle pour cela des étoiles violentes et fautrices de troubles
**La ceinture d'ORION : cette importante constellation dont le point de lever se trouve plein Est, est proche des deux étoiles feu de l'Hiver, le Porte Flambeau (Procyon) et la plus lumineuse de toutes, le Flambeau de Loki (Sirius47).
Orion est une des constellations les plus saisissantes. Les Égyptiens antiques l'ont identifié avec leur Dieu Osiris et il a une signification spéciale pour beaucoup de cultures partout dans l'histoire, et dans le monde entier.
Orion amène la pluie quand elle se lève et quand elle se couche. Orion (Arion est léquivalent dAryen) est celui qui habite la montagne (Ouranos) : « Né de la Terre, Orion était un Géant Chasseur doté dune force prodigieuse, mais une trop grande fureur sexuelle laveugla à tel point quil voulut porter atteinte à la redoutable Thémis ordre juste, déesse de la chasse. Elle le fit alors piquer mortellement au talon par un scorpion. Ils furent alors projetés dans le ciel où ils sont depuis en opposition sur le zodiaque comme des ennemis éternels.
Orion (lAryen/ lArcher ou Sagittaire) est donc la constellation dOuranos, urAhn le Vieil Ancêtre et Grand Sage, lAse qui arrive pour fêter le solstice dhiver et la naissance de son remplaçant, le Dieu-fils solaire quà son adolescence nous avons folkloriquement identifé au Prince de Mai !
Lépée de lumière sur le baudrier dOrion que les Nordiques nomment la Frija rokr ou Quenouille de Frigg, ne serait autre que le Lycornu (cf. nos articles Licorne* et Narval*). On pensera ici à la tradition nordique qui fait que lors dun mariage traditionnel, la belle-mère offre une arme blanche/ dague à son gendre pour la défense du foyer. Ce rite* sétait conservé chez les Doriens ou Héraclides, ces Nordiques qui avaient été chassés de leur Matrie par la Grande Submersion Boréenne (cf. art. Atlantide* boréenne et aussi Déluges*)
Màj 29 juil. 05, Proposée par Fdes1@, vu sur Eden de Felipe Vinci : « Note16 : Dans son Orion, B.G. Tilak montre que la civilisation védique dorigine se développa dans la " période dOrion ", quand léquinoxe vernal correspondait à peu près à la constellation dOrion (4000-2500 av. JC). Cependant, Tilak ne savait pas que cette période coïncidait exactement avec lapogée de loptimum climatique. Il y a un souvenir de cela dans la mythologie grecque aussi : la période dOrion coïncide probablement avec lâge heureux de Chronos, le roi de lAge dOr.
Màj du 21 oct. 05 : Pour les Égyptiens, Osiris était Orion et Isis était Sirius !
**Lorteil dAurvandil : est al Phecca ou alpha de la Couronne Boréale. Lorteil de ce Géant* fut lui aussi projeté dans le ciel par Thor le Dieu tonnant, mais antigrêle !
**« Ours et Cygne, ces deux polaires sont en opposition sur le cercle de lannée, donc décalées dune demi année cosmique, soit 25.900 ans/ 2. » G. de Sède, dun demi Ouroboros* (cf. Précession, in Astro III, Astronomie*).
Chez les Nordiques : « Völund le chasseur qui connaît le temps (Vili volonté + Lund4 bosquet sacré), poursuit lOurse et rejoint le Cygne. » Cest ce que lon retrouve chez nous dans la devise gravée sur le tombeau de Jean de Berry : « Oursine le temps viendra. »
La Grande Ourse est dessinée sur la Normandie par limplantation des abbatiales
qui furent construites sur de vieux lieux de culte et dinitiation païens nordiques.
**LA GRANDE OURSE, autrefois appelée la Biche, était consacrée au loup (!), en gaulois : bliez doù vient le nom de la ville de Blois, parent de Bélénos.
Pour les Grecs et les Celtes éburons, la Grande Ourse était le Sanglier et la Petite Ourse était Arctos.
Dans nos légendes nordiques, on trouve la Grande Ourse sous le nom de Chariot de Wotan/ Woden, Grand Chariot ou de Chariot dArthur. Les Anglais la nomment la charrue.
La Gde Ourse sappelait autrefois chez les pré-Celtes/ pré-Indo-européens le Sanglier (cf. les Éburons)
Et chez les Chinois le Blason du Seigneur den haut gardé par le Loup céleste (Sirius, notre étoile du chien).
Chez les Dogons5 dAfrique, elle est représentée par une figure très géométrique et bien proche de lescarboucle (cf. art. Blason*) constituée dune croix* régulière dont les quatre branches sont prolongées par un cercle. Il sagit là dune symbolique non réaliste sans rapport avec la position de cinq des étoiles de la Grande Ourse. Pourrait-elle être en rapport avec la figuration de la clairière/ tertre dobservation, le téménos propre à un de leurs ancêtres accultureur ?
**LES PLÉIADES ou la Harde de Sangliers°, daprès la forme en coin (groin) > des guerriers nordiques Svinfulking : elles font face, avec les Mâchoires du Petit Loup à lensemble stellaire de la Bataille des Dieux (Capella).
Létymologie du nom des Pléiades passe pour être « dinterprétation difficile et serait dorigine indo-européenne. » cependant, en grec, plein signifie naviguer, de *pleu agiter leau avec une rame (et aussi pleuvoir) ce qui explique quelles soient les navigatrices (la forme pindarique péléiades signifie secondairement petite troupe de colombes des esprits ? des Mânes* ? Cest probable !
Ces sept étoiles se lèvent à la belle saison quand commence la navigation qui se termine quant elles se couchent. Ces lever et coucher servaient à déterminer les équinoxes. Leur lever était, chez les anciens Indo-Européens, la fête du nouveau jour, ce qui peut explique la présence dun nouvel an à léquinoxe.
Excursus > «« Dans la mythologie grecque, lhistoire des Pléiades, qui étaient les filles dAtlas et de Pléioné, est fort intéressante. Reprenons leur nom individuel, avec leur qualificatif selon Robert Graves : Taygeté/ tanygennetos longtemps réprimé ? ; Électre ambre* ; Célaeno basanée [? - ou plutôt céleste!)n ; Maïa grand-mère ; Méropé éloquente, ou mangeuse dabeilles [ou de miel?]n ; Alcyoné reine qui protège des tempêtes (élan blanc ?)n et Asteropé face du soleil (ou sol dAstraïa)n sont les filles dAtlas celui qui ose ou qui supporte et de Pléioné reine voyageuse (
abondance)n, fille dOcéan. Elles sunirent toutes à des Dieux, sauf Méropé qui épousa Sisyphe et qui en eut honte : cest pourquoi son étoile est la moins brillante ! Orion (lAryen?)n lhabitant de la montagne (ouranos)n, tomba amoureux des sept surs et les poursuivit pendant cinq ans. Mais Zeus, par pitié, les transforma en colombes (après leur mort)n puis en étoiles.
«« Laînée des Pléiades était Maïa déesse de la croissance, donc sage-femme, fille dAtlas et mère de Mercure et déesse de la Terre qui nourrit les hommes. « Elles étaient sept autrefois et Électre (ambre*)n disparut à la fin du IIème millénaire (Å 1.250 AEC, lors de la Grande Submersion de la Mer du Nord?)n, à cause de la douleur que lui avait causé lanéantissement de la maison de Dardanos » : Ce nest pas nous, mais lEspagnol Hygin (-64, +17), un ami dOvide, qui le dit dans ses Fables.
«« On retrouve à nouveau dans ce passage les Danaéens anéantis. Mais cette connaissance de la disparition de la septième Pléiade est dordre mythologique : lîle dÉlectre/ Ambre* a disparu, cest un fait, un fatum. Elle nest donc plus avec les six autres îles britanniques et baltes qui ont leur correspondantes dans les étoiles car ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Le mythe littéraire enjolive les souvenirs historiques et se télescope (!) avec les résidus de lastrologie.
«« Si ce fait devait être reconnu par la communauté scientifique (mais comment le pourrait elle ?) et quil fut survenu au même moment que la catastrophe de lAtlantique nord, on comprendrait mieux lidée astrologique (au sens pataphysicien) qui prête une influence des corps célestes sur les humains et, donc, cette curieuse téléologie moralisatrice qui apparaît chez les Grecs et les Ébro/ Hébreux ! doù elle freya ensuite une voie au syncrétisme chrétien
«« Sur cette miniature du manuscrit du XIIème siècle nommé Aratéa (un nom évocateur ou lon retrouve Ar et Aétéa) les Pléiades sont figurées nageant sur lOcéan avec un bijou dor en forme détoile (et de forme assez runique nous semble-t-il) piqué sur leur chignon ou sur le voile de deuil que porte Méropé
«« Ce dernier élément nous met en éveil, ainsi que leur nombre qui rappelle celui des sept servantes de Frigg (cf. in Wotan*) et les sept sages (les sapta riksha des Hindous) leurs maris sans doute, qui sont six des sept rois, le septième étant Sisyphe, celui qui passe son temps à remonter les rochers. Le fait quelles soient filles dAtlas lAlt-Ase, et de la déesse Abondance* fille dOcéan (Posite-Poséidon*), quelles se transforment en colombes qui représentent lâme des morts (cf. articles Elfes*, Mânes* et Sirènes*), tout ceci ne peut que faire penser à la submersion de lAtlantide* boréenne. Ce raz de marée, qui succéda à un tremblement de terre ou/ et à la percussion du bolide Surt/ Seth en Mer du Nord, ne fit-il pas sécrouler les roches de lOlympe dHéligoland. Estce contre cet éboulement que Sisyphe6 ne put rien quoi quil tenta de remonter les rochers pour libérer son pays, surtout si le cataclysme dura cinq ans selon la Mythologie* ?
«« On peut facilement comprendre que ceci laissa Méropé dans le besoin, ce dont elle ne pouvait quavoir honte ! Cétait lépoque terrible où les Danaïdes, les filles de Danaos le Danaéen, tentaient en vain de vider leau des polder de leur pays avec des tonneaux, et avec un évident insuccès ! Leurs descendants bataves, à force dacharnement, dingéniosité, de masses de rochers (de Sisyphe) pour construire à grand dam leurs Grand Dam de digues, et de moulins à vent qui, pompant leau, allaient finalement y parvenir tout en rythmant leur travail avec les joyeuses chansons du Meunier Cosmique.
«« Essai diconologie : contrairement à van Lennep (Art et Alchimie) qui commente cette gravure de Mérian extraite de Philisophia reformata7 de Mylius (Francfort 1620) nous sommes persuadés que ce sont les Pléiades/ Servantes de Frigg que lon voit en médaillons autour de lArbre du Monde, arbre dont les fruits sont le Soleil, la Lune et les cinq Astres alors connus !
«« De mythiques Alcyons (dont nous disons un mot dans lart. Bestiaire*) figurent dans les cinq premiers médaillons, la Licorne* sous le pommier dAvallon est dans le sixième : cest la servante de Frigg chargée de la Justice*, et dans le septième, entrant dans sa tombe, cest Électre/ Ambre*. À gauche de lArbre se trouve le rossolis ou Dieu-Fils armé de son Bouclier (aégide, Méduse solaire) et de son Sceptre Fleur de Ly(s). Il chevauche une Chimère/ Fenrir/ Lion de mer qui domine la grotte doù sort le dragon*/ Niddhog du raz de marée qui vient juste de monter sur lîle alors quil crache encore les flammes volcaniques de Surt. A droite, nous voyons la Reine Lune Diane, avec son diadème lunaire. Elle chevauche le monstre Céta ou un narval femelle (ou un dauphin, ce quil est devenu tardivement par adaptation locale à la Mer Égée, après la confusion avec le nom de la grue Delphis des marais). Elle tient un arc de sa main gauche et une lance défense de narval* dans la main droite ! Au premier plan, le grand sage, lAlt Ase, en son costume dAse-trologue (E.D.), sa lance à la main tel Wotan*, et il fait face à un initié/ Thuler qui prête serment !
Màj 30 juil. 05 : «« Homère, dans lOdyssée, décrit lutilisation des constellations par les marins. Ulysse quittant Calypso : « Assis près de la barre,
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son il fixait les Pléiades et le Bouvier, qui se couche si tard, et lOurse, quon appelle aussi le Chariot, la seule des étoiles, qui jamais ne se plonge aux bains de lOcéan, mais tourne en même place en guettant Orion ; lavis de Calypso était de toujours naviguer en gardant lOurse à gauche de la main. ».
Màj 30 juil. 05 : «« Les Pléiades ont comme pendant zodiacal les Hyades les faiseuses de pluie dans le Taureau, entre les Pléiades et Orion, 5 filles dAtlas (devenues sept), nourrices de Dionysos. Elles se couchent juste avant le début du lever héliaque début novembre et marquent le début de la période pluvieuse. « Deux mille trois cent ans avant notre ère, des conjonctions exactes de Mars avec les Pléiades se produisaient environ tous les deux ans, car les Filles dAtlas, installées sur lécliptique, marquaient le point vernal. Or, cest près du point vernal que le parcours de la planète croise la route du Soleil. » Reznikov.
«« Aux Indes, cet astérisme est nommé Krittika, mot qui a aussi le sens de découpé8 comme Osiris comme le Téménos9 / Tertre/ Temple* de plein air ou comme son homologue gaulois németon, clairière sacrée servant à lobservation astronomique ?
«« À Sumer : le nom Temennu (!) que les prêtres astrologues donnaient aux Pléiades signifie aussi Omphalos (R. Reznikov), le centre du Cosmos, le lieu du Clou* de lUnivers, car il fut un temps où les Pléiades occupaient ce lieu (cf. archéo-astronomie in Astro III). »»
** Le Porte Flambeau° : Procyon ou alpha du Petit Chien Canis Minor.
** Les Portes de lécliptique : (Màj 30 juillet 05, Vu sur <cromlechpyrene>) « les portes de l'écliptique traversent la Voie Lactée, du Taureau aux Gémeaux au nord, la porte des hommes par oú descendaient les âmes des cieux en route vers la terre et la porte sud, celle des dieux, qui allait du Scorpion au Capricorne, par laquelle montaient les âmes, après la mort, vers le lieu de leur propre immortalité pour se placer à côté des dieux* selon ce que nous dit Macrobe dans le chapitre XII de son Commentaire du Rêve de Scipion, de Cicéron, bien que cet auteur du Vème siècle situe concrètement les portes dans les constellations solsticielles de son époque, Cancer et Capricorne, qui suivent, dans le firmament, les croisements cités de l'écliptique dans la Voie Lactée. »
**La Queue du Bouc (de Thor) est delta du Capricorne ou al Gedi°
**Le Seigneur : est Régulus°, alpha du Lion
**Sirius la Grecque : est nommée le Flambeau de Loki° par les Nordiques et Sothis en Égypte du nom de son pharaon astrologue. Sirius est létoile que les Hindous nomment Rudra !
Cest notre Étoile alpha du Grand Chien ou du Loup qui se situe à la base de la Voie Lactée. Cet il du Chien se couche le 21 avril (probablement un antique 1er Mai) et se lève à nouveau à la mi juillet :
« Lorsque le Lion commence à nous montrer sa terrible gueule, le Chien se lève, la Canicule aboie des flammes, lardeur de son feu la rend furieuse et double la chaleur du soleil (
) la Terre, prête à être réduite en cendre, paraît être à son dernier moment
» LAstronomicon, Manilius.
Les mythes* dogons peuple africain de lOuest célèbrent une fête, le Sigui, qui à lieu tous les soixante ans à loccasion de léclipse de Sirius avec son satellite
qui ne peut être vu à lil nu ! Larchéo-astronomie à pu décrypter ce mythe* apparemment impossible : Sirius était jusquen 50 AEC une étoile double et, depuis la très brillante collision entre les jumelles, elle est entourée dune couronne de satellites invisibles à lil nu : on pensera bien sûr à cette autre légende de létoile de Béthléem guidant les pseudo-Mages jusquà la pseudo-crèche (cf. art. Santons* et Père Noël*) !
Màj 30 juil. 05 : « Le simple contemplateur d'étoiles, bien qu'il ne doive pas être nécessairement indifférent à ce qui se passe en leur intérieur, aux atomes et aux composants des atomes avec lesquels se divertissent les astronomes modernes, conserve cet amour, ce goût pour l'aspect du ciel étoilé qu'a possédé l'homme depuis qu'il a été élevé à la dignité humaine, et qui peut-être lui a permis de l'atteindre. Pendant qu'il les contemple, il peut encore sentir la joie du berger homérique, la vénération des égyptiens et des chaldéens, la curiosité des premiers mathématiciens. L'étincelante Sirius, aimée, nommée et étudiée par des hommes qui ont vécu il y a cinq mille ans, est encore plus attrayante pour lui, encore plus que sa compagne découverte récemment, une naine blanche qu' à première vue aucun il humain n'a vu ni ne verra jamais. Et quand il s'agit de découvrir le développement de l'astronomie antique, le contemplateur d'étoiles est clairement avantagé par rapport à l'astronome qui n'est pas un contemplateur. Parce que les premiers astronomes furent des contemplateurs, sans qu'importe ce que soient devenus leurs successeurs. » Edmund James Weeb, Les Noms des Étoiles.
**Le Spica° : est lÉpis de Blé ou alpha de la Vierge
**Le Taureau : « La lune d'Ostara (Pâque), Avril, signe du taureau : Wotan est à Glastheim. Le Soleil a remporté une victoire totale à l'équinoxe de printemps et Wotan apparaît comme l'époux, de même qu'au mois précédent il s'activait comme fiancé de la Déesse de la terre qui a autant de noms que lui-même dans ses divers avatars Freyja. Elle était auparavant Saga et s'appelle maintenant Ostara et les noces du couple divin ont lieu à la première pleine lune après l'équinoxe. » R. Boyer.
Qu'une de ses étoiles se nomme Alcyoné est intéressant parce que :
- 1/ c'est l'étoile n du Taureau et, depuis l'antiquité, on savait que le ciel étoilé Ouranos tournait autour de ce pôle céleste mais "l'obscurantisme post évangélique" avec sa conception géocentrique de l'Univers, allait voiler cette évidence pour de trop nombreux siècles
- 2/ on dit aussi que ce serait elle que les Babyloniens appelaient la "Pierre de Fondation" Temmenu, nom qui nous fait penser au mot grec témenos "partie du ciel à observer" et à son anagramme gaulois Németon : clairière du tertre sacré. Cette Pierre de Fondation devrait avoir été, si notre supposition est exacte, le clou/ cheville que le Roi de Sumer plantait rituellement pour "fixer l'Univers" après la Grande Catastrophe.
- 3/ Les musulmans l'appelèrent beaucoup plus tard, El Wasat, "la centrale".
**La Torche° : est al Gol, létoile bêta de Persée.
**La Voie Lactée : elle est, pour les nordiques, le lieu où sesbat la Chasse Sauvage de Wotan*/ Hellequin doù son nom de Chemin de Wotan cest à dire La Rue dIrmin ou la Voie dIring ou de Walsingham cest à dire Bifrost ! Elle est Hvergelmir chez les Scandinaves, le Fleuve du ciel, qui est source de toute vie10 »
Chez les Celtes des îles, la Voie Lactée est nommée Caer Gwydyon le Château du Bon dieu (ou le Château des Initiants ?)
Pour les Grecs, elle était la Route des cygnes dApollon (cf. Grues sacrées).
Cest elle la Combe aux Étoiles ou Combostella/ Compostelle 11 ! dont le pèlerinage dessine sur notre sol un trajet équivalent à la Voie Lactée (le Lait de la Vierge) avec ses deux queues de mélusines*, lune venant du Nord et lautre de Genève et nommées Wil et Wan : les deux flots de salive qui coulent de la gueule des Mâchoires du Grand Loup, Fenrir
Remarquons que cette voie Nord-Sud, la tête au Nord et les 2 queues de Mélusine* au Sud, qui est la route des oiseaux sauvages des Estoniens et des Lapons ou celle des Grues sacrées* du Maglemosien, nest que notre propre galaxie spirale vue par la tranche !
**Vénus : en Étoile du Matin, était nommée par les Nordiques Aurvandils ta : le Voyageur doré. Elle est nommée Phosphoros par les Grecs et Lucifer le porte lumière par les Romains (un Daimon ou force créatrice (avant que lÉglise* ne déprécie les deux dun coup). On se rappelle que Vénus était née de lécume dOuranos castré par Kronos/ Coupure du Temps (cf. supra et art. Astrologie* nordique et aussi Déluge*) et, selon une des versions ethniques de la Mythologie, elle était originaire de Paphos dans lîle de Chypre. On remarquera ici que aphros signifie écume : naurait-on pas confondu avec lécume de la mer quest lambre* dor, lambre étant la parure du collier de Vénus/ Aphrodite ; et ce nom de Paphos naurait-il pas été donné par les transfuges du grand cataclysme boréen ? En effet, Paphos un port écumant, cest typique dune zone océanique dont les marées provoquent un mascaret dans les embouchures portuaires (Fors) est-il un souvenir de larchaïque Port de lAmbre ? Et la ceinture brodée dAphrodite, sa kestos12, était-elle garnie de pierres dambre ?
« Uen en Germain signifierait le bois, et ueneti il laboure, cest à dire il creuse le sol au moyen dun bâton pointu comme le font encore les Australiens dans le jeu* symbolique du coït. Ce terme se serait appliqué ensuite au champ lui-même : Gothique vinga, Irlandais vin13. Cette racine aurait enfin donné Vénus, la déesse des délices de lamour, venos. » Gilbert Durand, op. cit.
Archéo-Astro : dans la Haute Antiquité, le 6 janvier voyait la sortie du Soleil dans la constellation de la Vierge : À laurore de lAnnée, cest la date de lépiphania ou apparition de la lumière chez les grecs, à loccasion de la nouvelle clarté Neu Helle qui voit les peuples indo-européens aller à dorer le Dieu-Fils solaire, le jeune Apollon : « à Rome, cest la fête de Sol Invictus, le Soleil Invaincu des Romains, qui présentaient le jeune Phbus nu sur une natte dépis blonds tressés en Soleil rayonnant quon retrouve dans la crèche provençale avec les douze signes du Zodiaque autour de lui, zodiaque figurant lastronomie* de Wotan*, le chef des Ases, et qui nest autre que la suite annuelle des astérismes runiques* ou Trinôme sacré* » extr. art. Fêtes*
Remarquons que notre calendrier mensuel sil peut avoir été fait sous ces noms par les dieux de la semaine gréco-romaine ne dépend que du surgissement des ces 12 constellations. En effet, les 7 luminaires célestes ou astres du même nom, tels des dieux se promènent dans le ciel où et quand ils veulent dans leur activité hebdomadaire, parmi ce monde stellaire parfait dans sa stabilité : ils ne peuvent donc servir de repère horaire ou calendaire à personne.
**Les Yeux de Thiazi : sont Castor et Pollux (alpha et bêta des Gémeaux), les yeux du géant* projeté dans le ciel par Thor afin de commémorer éternellement ses actes de bravoure.
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1ère parution le 29 sept. 01, 4ème màj le 5 nov. 05